WTF?

One Hitter Quitters: A Compilation

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CAMTASTROPHES #7

CAMTASTROPHES #7

The Internet Never Forgets

The Internet Never Forgets

13 INCHER = RIDICULOUS ORGASM

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Husband Of The Year

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Assisted Entry 3

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Groups

Famille ou m�re perverse de Montr�al

8 Uploads · 332 Members · 22 Forum Posts · 75,074 Visitors
J'ai un dernier fantasme non réaliser que j'aimerais vivre.Ce groupe vise à rechercher les personnes qui pourront m'aider à le vivreJe le considère comme le tabou des tabous - Baiser avec une mère et son fils et/ou sa fille , tous bisexuels et ages de plus de 18 ansFamille (régulière ou monoparentale) qui parle de sexe ouvertement et quasi sans limite avec les autres membres de votre famille immédiate de 18 ans et plus....Nudisme, naturisme, échangisme, triolisme et toutes les autres formes de sexualités possibles du plus vanille a la plus perverse des perversions...C'est vous que je cherches - J'aimerais beaucoup vous parlez et/ou vous rencontrezVous croyez être capable de relever mon défi....contactez moi...et la suite...nous y verrons..:))))

Naked french actresses

1 Uploads · 70 Members · 1 Forum Posts · 11,956 Visitors
Plenty videos of frenches actresses naked(maybe others countries too...)Multitudes de vidéos d'actrices françaises nues(Peut-être d'autres pays aussi...)

Vernuttung - Whorization - Putisation

854 Uploads · 196 Members · 78 Forum Posts · 122,059 Visitors
Jede Frau soll eine schamlose Nutte werdenEvery woman should become a shameless whore.Chaque femme devrait devenir une pute sans pudeur.ENGLISH/ENGLISCH/ANGLAIS:This is an international group (in English, German, and French) to promote the general "whorization" in our society - primarily the whorization of women, but of trannies, transgender, and heterosexual men as well.Whoriz...
Jede Frau soll eine schamlose Nutte werdenEvery woman should become a shameless whore.Chaque femme devrait devenir une pute sans pudeur.ENGLISH/ENGLISCH/ANGLAIS:This is an international group (in English, German, and French) to promote the general "whorization" in our society - primarily the whorization of women, but of trannies, transgender, and heterosexual men as well.Whorization is an important instrument in the sexual liberation (of all people, but of women in particular). Contrary to anti-porn, or anti-prostitution-feminists we assume that it is the complete legal freedom of prostitution, whoring, sexwork (and every pornography production as well) that is essential for our sexual liberation, and the preservation of our sexual rights and freedoms.DEUTSCH/GERMAN/ALLEMAND:Dies ist eine internmationale Gruppe (in Deutsch, Englisch und Franzoesisch) zur Foerderung der allgemeinen "Vernuttung" in unserer Gesellschaft - vor allem der Vernuttung von Frauen, aber auch von Transen, Transgender-Personen und heterosexuellen Maennern.Vernuttung ist ein wichtiges Instrument zur sexuellen Befreiung (aller Menschen, aber besonders von Frauen). Im Gegensatz zu Anti-Porno- oder Anti-Prostitutions-Feministinnen gehen wir davon aus, dass die voellige rechtliche Freiheit von Prostitution, Hurengeschaeft und Sexarbeit (aber auch jeglicher Porno-Produktion) essentiell ist fuer unsere sexuelle Befreiung, und die Bewahrung unserer sexuellen Rechte und Freiheiten.FRANCAIS/FRENCH/FRANZOESISCH:C'est une groupe internationale (en Anglais, Allemands et Français) pour promouvoir la "Putisation" générale dans notre société - essentiellement la putisation des femmes, mais des transsexuels, des transgenders, et des hommes hétérosexuels aussi.Putisation est un instrument important pour la liberation sexuelle (des tous gens, mais des femmes particulièrement). Contrairement aux feministes anti-porno ou anti-prostitution nous supposons c'est la liberté légale totale de prostitution, être-putain, travail du sexe (et de production pornographique tout-entière) qu'est essentielle pour notre liberation sexuelle et la protection des notres droits et libertés sexuels....

Nullo Women

223 Uploads · 204 Members · 166 Forum Posts · 390,851 Visitors
This is a special (and exclusive!) place for women and girls to discuss total or partial female nullification. Nullification involves the voluntary removal of body parts. Body parts that are commonly removed by women practicing body nullification are: clitoris, inner or outer labia, the womb, fallopian tubes, nipples, and breasts. This may include labiaplasty and clitoridectomy...
This is a special (and exclusive!) place for women and girls to discuss total or partial female nullification. Nullification involves the voluntary removal of body parts. Body parts that are commonly removed by women practicing body nullification are: clitoris, inner or outer labia, the womb, fallopian tubes, nipples, and breasts. This may include labiaplasty and clitoridectomy, infibulation, hysterectomy, nipple removal and mastectomy. Wannabes are welcome...we want to make this a comfortable place for experienced women and girls to advise those who are considering some kind of nullification.Some nullo women are also involved with amputation of limbs. You are also most welcome.Men are NOT welcome. There are nullification groups for you and your presence may be particularly uncomfortable for girls.Group rules:1. We want to have a welcoming environment so aggressive behavior will not be tolerated.2. This is a moderated group. 3. Every upload that is off-topic will be immediately removed. 4. Male members will be immediately removed.5. This is a group for women and girls only.This group will be moderated by Amanda, an informed sympathizer and Missy, who is totally nullified and has gotten permission for arm/leg amputation._____________________________________Dies ist ein besonderer (und exklusiver) Raum fuer Frauen und Maedchen um voellige oder teilweise weibliche Nullifizierung zu diskutieren.Nullifizierung bedeutet die freiwillige Entfernung von Koerperteilen.Koerperteile, die ueblicherweise von Frauen entfernt werden, die Nullifizierung praktizieren sind: Kitzler (Klit), innere oder aeussere Schamlippen, Gebaermutter, Eileiter, Nippel und Brueste.Dies kann beinhalten: Schamlippenverkleinerung/ -entfernung, Klitorisentfernung, Infibulation (Verschliessung der Vagina), Gebaermutterentfernung, Nippelamputation, Brustamputation.Wunschkandidatinnen sind willkommen ... wir wollen dies zu einem angenehmen Raum machen, wo erfahrene Frauen und Maedchen denen Rat geben, die die eine oder andere Form von Nullifizierung ueberlegen.Einige Nullo-Frauen sind auch mit der Entfernung von Gliedmassen beschaeftigt. Ihr seid hier auch sehr willkommen.Maenner sind hier NICHT willkommen. Es gibt Nullifizierungs-Gruppen fuer Euch und Eure Anwesenheit kann besonders fuer Maedchen unangenehm sein.Gruppen-Regeln:1. Wir wollen hier eine einladende Umgebung haben, deshalb wird aggressives Verhalten nicht toleriert.2. Dies ist eine moderierte Gruppe. 3. Jeder nicht zum Thema gehoerige Beitrag wird sofort geloescht. 4. Maennliche Mitglieder werden sofort geloescht.5. Diese Gruppe ist ausschliesslich fuer Frauen und Maedchen.Diese Gruppe wird moderiert von Amanda, einer informierten Sympathisantin, und Missy, die voellig nullifiziert ist und die Erlaubnis fuer Arm-/Bein-Amputation erhalten hat._____________________________________C'est un endroit special (et exclusive) pour les femmes et filles à discuter la nullification feminine totale ou partielle. Nullification implique le déménagement volontaire des parties de corps.Parties de corps communément enlèvés par des femmes pratiquant nullification corporelle ces sont: le clitoris, les petites et grandes lèvres de chatte, l'utérus, les trompes de Faloppe, les téton, les seins entiers.Cela se peut comprendre labiaplastie, l'excision des petites lèvres, clitoridectomie, ablation des grandes lèvres, infibulation, hystérectomie, enlèvement des tétons, mastectomie, etc. Aspirantes sont bienvenues ... nous souhaitons de créer un endroit agréable pour les femmes et filles avec connaissance pour conseiller celles envisageantes quelque genre de nullification.Quelques femmes nullo avaient une liaison avec l'amputation des membres de corps. Vous êtes bienvenue le plus.Hommes ne sont pas bienvenus ici. Il y a de groupes nullification pour vous et votre présence peut être particulièrement désagréable pour les filles.Règles de groupe:1. Nous préférons un environment accueillant, par conséquent comportement aggressif n'est pas acceptable.2. Celui-ci est un groupe modéré.3. Chaque image ou video téléchargé hors du sujet seront rayé immédiatement.4. Membres masculins seront rayé immédiatement.5. Celui-ci est un group seulement pour femmes et filles.Ce groupe sera modéré par Amanda, une sympathisante informée, et Missy, qui est nullifiée totalement et a reçu permission pour amputation de bras/jambe....

Amatrices Francophones

778 Uploads · 84 Members · 9 Forum Posts · 63,630 Visitors
Groupe réservé aux amatrices françaises mais on a rien contre les canadiennes, belges, suisses,...Pas de conneries. C'est la règle principale. Ça veut dire pas de trucs qui enfreignent les règles (celles du groupe, celles du sites, celles légales,...) donc pas de cp, pas de demandes de DOXX, pas de gores, vous connaissez la chanson.A priori si vous arrivez sur cette page...
Groupe réservé aux amatrices françaises mais on a rien contre les canadiennes, belges, suisses,...Pas de conneries. C'est la règle principale. Ça veut dire pas de trucs qui enfreignent les règles (celles du groupe, celles du sites, celles légales,...) donc pas de cp, pas de demandes de DOXX, pas de gores, vous connaissez la chanson.A priori si vous arrivez sur cette page j'estime que vous avez plus de 18 ans et que vous n'êtes pas susceptible d'être choqué par le caractère pornographique du groupe, si c'est le cas il est encore temps d'aller voir ailleurs.Cependant, l'admin refusera toutes les images qu'il considèra comme trop extrême: la scatophilie et la nécrophilie ne sont pas mes amis. La liste est non-exhaustive.L'admin fera pas un scandale si vous postez quelques pros mais c'est pas le but premier alors n'en abusez pas.Vous pouvez poster des vidéos avec des françaises mais veillez à ce qu'on entende parler français, ou au pire à ce que quelques photos viennent confirmer que les modèles présents sont francophones.Encore une fois, éviter les informations sensibles. On est pas là pour gâcher des vies, juste pour avoir une variante un peu plus française dans notre porno.Le général est le maître à bord.Je me garde le droit de supprimer tout ce que je considère hors des catégories mentionnées ou si un jour je suis de mauvais poil et qu'il y en a un qui a décidé de faire le malin.Tl;dr For those who would not speak french but still manage to reach this part, You're Welcome. This is a group for french-speaking amateurs and I intend to keep it that way. So if you want to post a video be sure we can hear the models are speaking french or be able to provide some pics in addition that will prove the models does come from a french-speaking area of the world. Other than that don't post some bullshits, I don't want to see cp, scatophilia, necrophilia, or any too extrem form of pornography. I do expect you to be over 18 if you reach this group so... yeah enjoy and keep it clean when you'll leave.Also, no DOXX, we're not here to ruin lives, just find some french-speaking gals doing porn for once.The General is the boss here....

Board Posts

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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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VirginieSnini
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@confessions
07 Jun 2013 2:04PM
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Je m'appelle Virginie, j'ais 49 ans, je suis folle de bites, j'aime le sperme et le gout du sperme. J'aime sucer, et recevoir la foutre sur moi, lécher le sperme, l'avaler pour son bon gout. J'aime les jeunots, cette bite qui se dresse devant moi pour que je la suce. Cette bite qui se dresse devant qui m'excite, bien dure, il me la fourre dans ma chatte et se met à ramoner mon minou pour jouir dedans, sentir se liquide chaud au fond de mon trou. J'aime la queue jeune, le sperme des jeunes qui me gicle sur le visage. Je suis une salope, pétasse blonde, pour les jeunes que j'excite.
J'aime les adolescents, le sperme de gamin m'excite, j'aime leurs bites. J'aime sucer plusieurs bites à la fois, j'aime quand plusieurs queues se mettent à jouir sur moi, j'aime me faire recouvrir de sperme, j'aime me mettre à 4 pattes comme une chienne pour lécher tout le sperme qu'il y aura sur le sol. Je suis une chienne mature pour les très jeunes bites dès qu'ils sont capables de bander et me jouir dessus je m'en fou de son age, des l'instant ou il se fait plaisir il peut avoir cela ne me dérange pas puisque si il y bande c'est qu'il veut et peut me sauter. Fan de gamin en âge de jouir, chienne à queue.
Je me suis fais sauter par un un ado de même pas majeur rencontré en boite de nuit en début d'année, il bandait bien, il était jeune et beau, sa bite voulait être sucée, nous étions en boite et je lui ais proposé d'aller dans les toilettes pour le sucer, il devenu fou, trop content de se taper une vieille, il me suiva. Je lui ais montré mes seins et enlevé mon haut qu'il les touche, les tripote, les léche Je sorti sa bite de son pantalon elle était dure mais en quelques secondes quand j'ai commencé à lécher son pénis et ses boules il a bander encore plus dure. En 5 minutes je me suis retrouvé avec la bouche rempli de foutre, j'ai ouvert la bouche pour lui montrer et j'ai avalé. Il me dit "qu'elle coquine". Connaissant ses copins il me demanda si j'avais envie de sucer ses potes aussi, il me dit qu'il y en a plus jeune que lui et plus vieux aussi. Ils étaient 6, je lui ais dit ok, qu'ils viennent l'un après l'autre, si ils veulent se faire sucer par une mature. Ils sont tous venus j'ai bu pas mal de sperme ce soir là, et en plus que des jeunots, sur le dernier avant qu'il arrive je me suis entièrement déshabillée, je n'ais pas pu résister, je lui ais demander de me baiser aussi. Une soirée inoubliable.

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@confessions
02 Mar 2024 4:56AM
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tres

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@random
05 Oct 2021 4:38AM
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Betty salope française exhibée partout sur le net par son mari qui rêve d être cocu

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Jostiger
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11 Aug 2013 12:26AM
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Do not miss this story in french.

http://eroticostory.com/Mon-Pere-je-me-confesse.html

Ne maquez pas cette nouvelle histoire érotique.

Voici un extrait :

--- Bonjour mon père. Cette semaine, je me confesse d'avoir été une très mauvaise fille. Dimanche dernier, après avoir confessé mes péchés et avoir récité tous les "je vous salue Marie" qu'on m'avait demandé de faire, je me suis dirigé vers chez moi avec la ferme intention d'agit le plus longtemps possible en bonne chrétienne.
--- Très bien.
--- Malheureusement, je suis tombée sur Alain, un très mauvais garçon. Il se tenait adossé sur le mur, à l'entrée d'une ruelle. Je dois avouer qu'Alain, aussi vilain qu'il puisse être, est du genre assez canon, alors quand il m'a fait un signe avec le doigt, tout de suite je suis allé le rejoindre. On a marché un brin et on a jasé, pas longtemps, juste assez pour que je comprenne ses intentions. Après avoir tâté mes tétons, il a descendu sa braguette et il a sorti sa queue. Il m'a dit "suce-moi ". Je lui ai répondu "ici, dans cette ruelle?» Il m'a répondu "pas le temps de trouver un motel... j'ai envie tout de suite". Je ne me suis pas fait prier et je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il soit sec. J'aurais bien passé plus de temps avec lui, mais il est parti aussitôt après avoir joui. Ce n'est qu'un tout petit péché, mon père, mais je crois que je me devais de vous le dire.
--- Un tout petit, mais un péché tout de même.

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30 Nov 2023 2:38AM
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Prisca je crois te connaître... 

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@random
17 Sep 2009 6:00AM
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http://defoncemoi.byethost7.com/2009/09/une-ado-tres-chaude/

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Sish
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@random
15 Sep 2017 12:23PM
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"Vitamina N" was a late night tv show from Spain broadcasted by CityTv (a local tv channel from Catalonia, the language they're talking is catalonian) where one of its presenters, "Torito", used to make naughty games that often involved certain kind of nudity. In this case, the game is called "el millor de tres" (the best of three) and three persons randomly selected from the audience had to: 1st. Collect clothes from the public (trousers and skirts 2points, blouses and shirts 1 point), the one with less points at the end is eliminated. 2nd. The remaining contestants have to remove their own clothes, the one with less clothes at the end, wins. However, since they tied, Torito made a tie break game, they had to go outside and collect as much money as they could in 2 minutes. The prize for the winner is picked randomly too, having good and bad prizes. I speak catalonian so maybe in the future I could make some subtitles for this.

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mstkko2244
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@funny
21 Jan 2024 7:54PM
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mama papa y hija disfrutando por lawebcam felices los tres. Un aplaso por todo.

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frenchsluty
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@chicks
07 Nov 2011 1:26PM
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bonsoir ^^

nous somme un jeune couple fun complice et trash :p
on cherche de bon vicieu bien monter tres fan de face fuck hard dominateur et vicieu
pour limer la gorge de ma cherie a la faire gerber :p plus facial copieuse

voila une tit photo de sont anus dispos� aussi a ce faire gaper !!

allez venez nombreu on vous attend !!

katia et noam .

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beautybutts
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@random
22 Dec 2017 3:02PM
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In a few minutes we were in a five franc room on the Rue Amelot, the curtains drawn and the covers thrown back. She didn't rush things, Germaine. She sat on the bidet soaping herself and talked to me pleasantly about this and that; she liked the knickerbockers I was wearing. Tres chic! she thought. They were once, but I had worn the seat out of them; fortunately the jacket covered my ass. As she stood up to dry herself, still talking to me pleasantly, suddenly she dropped the towel and, advancing toward me leisurely, she commenced rubbing her pussy affectionately, stroking it with her two hands, caressing it, patting it, patting it. There was something about her eloquence at that moment and the way she thrust that rosebush under my nose which remains unforgettable; she spoke of it as if it were some extraneous object which she had acquired at great cost, an object whose value had increased with time and which now she prized above everything in the world. Her words imbued it with a peculiar fragrance; it was no longer just her private organ, but a treasure, a magic, potent treasure, a God-given thing - and none the less so because she traded it day in and day out for a few pieces of silver. As she flung herself on the bed, with legs spread wide apart, she cupped it with her hands and stroked it some more, murmuring all the while in that hoarse, cracked voice of hers that it was good, beautiful, a treasure, a little treasure. And it was good, that little pussy of hers! That Sunday afternoon, with its poisonous breath of spring in the air, everything clicked again. As we stepped out of the hotel I looked her over again in the harsh light of day and I saw clearly what a whore she was - gold teeth, the geranium in her hat, the run down heels, etc., etc. Even the fact that she had wormed a dinner out of me and cigarettes and taxi hadn't the least disturbing effect upon me. I encouraged it, in fact. I liked her so well that after dinner we went back to the hotel again and took another shot at it. "For love," this time. And again that big, bushy thing hers worked its bloom and magic. It began to have an independent existence - for me too. There was Germaine and there was that rosebush of hers. I liked them separately and I liked them together.

- Henry Miller, Tropic of Cancer
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VirginieSnini
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@random
08 Sep 2015 1:55PM
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Salut à tous les jeunes mecs.
Moi c'est Virginie , 51 ans à ce jour. Je suis une salope mature blonde qui aime les jeunes bites.
Une jolie pétasse blonde aux seins moues qui commencent à tomber, ce qui va de soit par mon âge.
j'aime être traiter comme un chien désobéissant. J'aime le sperme sur mon corps et surtout dans la bouche pour l'avaler, son gout est exquis. J'aime recevoir des coups que cela soit des gifles ou des coups de pieds pour me faire obéir ou me faire sentir que je ne suis qu'une chienne. La soumission comme à un animal m'excite.Je suis soumise et docile à la supériorité de l'homme. On peut me dresser car je suis soumise au plaisir de la queue. J'aime la voir se mettre à grossir et la voir lâcher son jus que je lèche même sur le sol à quatre pattes comme un chienne qui à faim. Les jeunes adorent me voir à quatre pattes comme chienne lécher la semence répandu parterre.
Les mecs font ce qu'ils de moi.
Me faire prendre n'importe où ne me dérange pas. Se sont les autres que cela peut déranger et je m'en fou. Ils ont qu'à apprécier ce moment au lieu de faire les pudiques.
Je suis devenue avec l'âge une folle des queues jeunes. Ces beaux corps me font envie plus que tout. Je peux vous que suis bien servie, ils sont affamés de femme mure tous ces jeunes.
Bizx Virginie

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