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Anonymous
@confessions
30 Jul 2012 2:04PM
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i confess i have more of Nikki, seems she is not fucking her cousin who is quite the photographer, this pic was taken right before he fucked her and came on her face. Apparently it all started when she went outside in her bikini yesterday and helped him wash his car. I bet all the trailer park tenants go a great view of her getting soaked by the hose.. More to come tonight

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Dr_Albo
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@random
13 Sep 2021 12:39PM
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Continue the story.

The rent's due but the tenant has something else in mind for payment. She thinks she can get away with just performing a lap dance.

Dr_Albo
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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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@confessions
05 Jan 2024 9:02PM
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Crazy confession, I have been having sex dreams about my tenant. He is a Trans man, FtM, and has been renting a room and staying with me and my family for almost 2 years. The dreams just started recently and in them sometimes he likes being fucked like a girl and sometimes like a boy...but never called by his birth name. And in the dreams always let's me cum inside him.

Thoughts? 

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Winnipeg_Couple
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@confessions
01 Aug 2018 1:04PM
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Replacement posting for the one that mysteriously disappeared. Not sure why. Our pics, no rules of content broken and we didn't delete it. Site glitch perhaps?

We confess that the girlfriend tans nude in the back yard with the full knowledge that the neighbor (in his 50's) and the 3 tenants (20-30 yrs old) are able to peep her from their upstairs window.

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@chicks
5d ago
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Photos of my 18 year old tenant who called and asked me her 63 year old landlord to pick her up from a local club and help her to bed..So I did

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Estella_Kuch
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@confessions
13 Jul 2012 5:52AM
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I confess 6 years ago I moved into a flatshare with another woman and a guy who were not related and I did not know how to cope with her.

I am one of those guys who rarely gets laid(fortunately I am no virgin anymore) and are puzzled by social interactions of any kind with women.

So there I was, moving in. She was 28 at this time and had this "you did something wrong" look all the time. Like a "I am never happy with what you do even though we are neither related nor have I any right to, I will always judge you and treat you like a 5 years old".

So there I was unloading my things outside of the house. I asked her to help me bring stuff in as I don't have any friends to help me. Of course I did not say the friends part, I just asked her whether she could help me bring stuff in. She said, yes but seemed pissed all the time. Later on I was told that she did not enjoy it at all because she being female shouldn't do that. Geez.

So there I was trying to establish conversation after that in the following weeks and all I got was this "you are not enough" - vibe from her. She is working in a huge company as a manager, that's were it seems to stem from. Then some dude fucked her and she became pregnant. And me - being "home" often - was on the receiving end of it - without even asking or presenting myself to her. As I have this perception of "home" that people have to understand each other I didn't stand up to that but told her that she needed to realize that I wasn't responsible for whatever she experienced and didn't want to be on the receiving end of it.

She didn't care.

It was hard to find the flat so I didn't want to move out just then. After a while she wrote me a letter(!), pinned it to my door saying that she couldn't stand me anymore and that I needed to move out. She being the main tenant could do that. So I looked for a new flat not even having had the opportunity to really equip my room after having stayed there for two month.

It still bugs me that I didn't know how to deal with her.

How should I have dealt with that cunt?

WITHOUT moving out of course, running away.

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@requests
02 Mar 2021 6:07AM
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My tenant offered me her pussy in place of her rent. I jumped at the chance. I fucked her bareback, but pulled out and filled her mouth rather than filling her cunt.

She stills owes more money, and has said she is willing to trade sex for accomodation on a permanent basis.

So what should I make her do to keep a roof over her head?

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@confessions
07 Nov 2023 5:01PM
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Id like to tell you a story about our new house that myself and my wife have moved into. It's a beautiful 2 bedroom, one bedroom is tiny,house with everything furnished and the rent isn't bad either. The landlord built for his mother-in-law, it at the end of his yard. It has a small garden, fenced in. His mother-in-law passed away about 2 months before we moved in. We really got lucky.

Things were going great until my wife had things stolen from her, not from inside the house but from the clothes she had drying outside. It was her underwear, bras and panties. She didn't get too upset until some of her more expensive lingerie disappeared. It wasn't every time she was drying her clothes but about every second weekend. I found out that, every second weekend, the landlords son came to visit. I didn't know that the landlord and his wife had separated and he had visitation every time her underwear went missing. Just to be sure I installed an infrared trail camera, out of sight but I was able to see enough. Sure enough the next time the son came for the weekend, my app for the camera, messaged me that something set it off. My wife knew I was setting up the camera but I didn't let her know that the camera was recording. I went from the sitting room, where we were watching TV, to the kitchen so I could see what set the camera off. I could see someone snooping around the yard and making his way to the clothes that were drying, but I couldn't see who. At that exact time my wife's TV program ended and she came into me to say goodnight and up to the bedroom she went. I kept an eye on my phone to see if it would show the culprits face. I could see the bedroom brightening up after my wife turning on the light and then getting darker from her shutting the curtains. With that the figure went from the drying clothes to the bedroom window where my wife was getting ready for bed. Even though I saw all of this happening, I didn't do a thing. I didn't turn on the yard light, I didn't go outside to chase the person away and I never told my wife someone was at the window. All I did was watch, on my phone, this person spying on my wife. I kind of enjoyed it. The next day my wife came into me wanting to find out about what the camera spotted because her underwear had gone missing again. I told her that the batteries must have been dead because nothing was recorded. We'll try again tonight.

It has to be the son.

The following night nothing happened. The camera was never tripped. Visitation was over and the landlords son went back to his mother. 2 weeks later and I'll be ready.

The more I thought about it I was loving the thought of my wife being spied on. 

Visitation weekend was here. I set the trap. I snucked my wife's gstrings, 4, and her fanciest most colorful bras out and I closed the bedroom curtains, leaving a big gap, revealing, most of the room, just hoping my wife didn't notice. 

I opened a bottle of wine and we sat watching a movie just chilling. The movie ended and we were chatting, when my phone notification dings letting me know that something set off the hidden camera. The bate was taken.

I told the wife that I was going to bed after I tidied the kitchen and started to take the wine glasses and bottle to the kitchen. With that my wife said that she'll head off to bed. I examined my phone, and sure enough, I could see someone at her lingerie that I hung up. This time I could make out that he was rubbing himself with one of her undies, he was wanking on her underwear. The yard, in one patch, lit up. I can see our bedroom light was after being turned on, my wife was, now , getting ready for bed. With that the voyeur scooted over to the window and to my delight, and the window spy, she never noticed the curtains not being pulled completely. He was right up to the window, going slightly to the left and back to the right, following my wife as she walked around. Then I see he has his phone turned on, he starts to record her. With the light from his phone shinig slightly on his face, I get the biggest surprise, its not our landlords son, it's the LANDLORD.

I rushed to the bedroom, not to close the curtains but to give a better view for the landlord. I entered the room and my wife was just walking around with only her panties on. Her ass was swallowing her panties, her 2 cheeks just munching them.  I grabbed her from behind and started to nibble on her neck and at the same time walked her closer to the window giving the, window peep, a clear view of my half naked wife. I ran my hands up her ribs, catching her shoulders and arching her back , which thrusted her C cup breast toward the window. I then slid my hands slowly back down her ribs to her thighs as far as I could and back up between her now parted legs but I perpously didn't go ne'er her pussy. Back up her rids not going at get tits and back between her legs not fingering her pussy. She was giving my bulge an unbelievable grinding with her ass. I finally rubbed her pussy which had her panties soaking wet. She went from grinding on my bulge to trying to get my fingers to enter her pussy with my fingers. I turned her around which had her ass facing the window and she was really gyrating her hips on my now throbbing dick. This was my first time being filmed and I was really trying to put on a show for our landlord. Without any coaxing, my wife put her two hands down my shorts and pulls out my dick and starts to give me a BJ. turning her slightly so I can give our peeping Tom a better viewing. Eventually I guided to the bed, I faced her pussy towards the window. She started back giving me my dick licking and I started at her now dripping wet pussy. I started to take her panties off when she reached down herself and pulled them down a small bit and then kicked her legs until they were off. There we were, my wife, giving me a side headed blow job with her legs spread, with me squeezing  her breasts with one hand and fingering her with the other one, exposing herself to be filmed. I caught one of her hands and tried to have her finger herself with no luck. I was determined to have her play with her pussy and after a bit I placed my hand on top for hers, placed it on her wet pussy and I stated to play with her in-between her fingers. I could feel her starting to really enjoy this. I eventually placed my fingers on top of hers and started to rub her clitress with her fingers, which were being controlled by mine. Before long I could feel that she wasn't being controlled by my fingers anymore. She was taking over herself. Not to startle her, i slowly took my hand away, BINGO, she was masturbating herself. Her legs spread wide, her fingers were all over her clit and disappearing into her pussy. Her blowjob on me was being forgotten about, as she starts giving off this, high pitched, hum. I've heard that noise often before. It means she's bringing herself to a climax. Her knees start to close together, with her body starting to shake. I whispered to her to try to keep her legs open and she only had to be asked once. She had them spread the widest I've seen. (The yoga classes she takes are really coming in handy for the landlord). I could see her toes curling, her shoulders shaking, her face straining and her mouth wide open and high-pitched groans and moans getting louder. I squeeze her tits hard, really hard. This seems to excite her even more and then she starts to get waves of convulsions shooting through her. This kept going on for 2 minutes untill she grabs her own tits, squeezes her thighs together and just squirming. After her explosive climax, I fucked her brains out. At the end of our sex session, she couldn't get out of bed to go to the bathroom, I had to help her. What a night.

I fixed the curtains in Beth bedrooms so they can't close properly. My sister-in-law comes over to stay with us and I said I'd give the landlord someone else to record. I keep recharging tha infrared camera, which tips me off that we have a guest. Most of the time my wife is only changing but every so often, I put on a show for our peeping Tom.

8 months into our lease, I asked our landlord for a reference because we didn't know if the rent was going up , so we decided to look around. Well he told me that we were the Ideal tenants, payed on time, never any trouble. We said that he was trying to pay less to the tax man and was wondering if we would sign another lease but it would be for 200 cheaper. Tax man yeah. The window spy wanted to keep his model to film. If course I agreed. Nothing like using my wife as a unsuspecting whore, who show's off her body getting used. A film whore.

My wife still doesn't know she's being used. The sister-in-law is an additional slut to the stable. I wouldn't mind seeing her naked. My wife still has her bras and panties take every now and then. ( It is the landlords son who steals them) The landlord does wank himself using the wife's underwear. She was complaining that the washing machine isn't cleaning as well as it was because it's leaving stains on some of her clothes, it's always her knickers and bras. She used to rewash them but lately she sees the stains smells them and puts them on. Fuckin hell, she's wearing knickers and bras with his cum stains in them. I love it 

I know some of you will be saying, "show us some nudes of her". I'm onto a good thing. I'm not going to ruin everything to show you guys. If one of the recordings turn up on line, I'm clean, it wasn't me. I might repost it, but I won't be the one to post a nude of her.

I hope you've enjoyed this.

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cams2011
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@confessions
12 Jun 2016 2:27PM
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I confess that I am looking for a specific video. It's a hot teen landlady's daughter showing the new shy brunette milf tenant around before they start going at it. The teen is quite bossy/blunt with the milf. I can remember that the older woman double checks the teens mother isn't home.
Anyone know of it and where I can find it? Let me know x

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@chicks
12 Aug 2022 12:42AM
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The things my tenant does to pay for her rent....

What a dumb bitch

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Enterinrearonly
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24 Feb 2023 9:41AM
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I have a tenant and her 18 year old son that live in the apt. 2 doors down. during the covid crisis he turned 18 and was doing school at home, he had problems with his school work. i heard his mom yelling at him one night about the grades he was getting and the notice about him not being able to graduate if he didnt get passing grades. long story short his mopm asked me to keep an eye on him and let her know if i saw him leave during the day or had friends over. one day he knocked on my door and asked if i could look at the bathroom sink it was leaking, so i went over, fixed it, and said hey i need to talk to you, come over my apt. when you get a second, i could tell he was worried. he came over and sat down,i really didnt know him at all. other then seeing him around and telling myself, i have the hottest fuckiing 18 year old on the planet 2 doors down from from me. i told him his mom talked to me and wanted me to inform her if he left during the day or had friends over, right away he was making excuses why his 2 friends were in his living room playing games on the computer. i told him dont fucking worry, i wont say anything, i promise. i also asked him about his school work and maybe failing, he just looked at me and said, yea im going to fail, im to far behind. i told him ill help him, tell his mom that he would be coming to my house to do his school work, she was completely of the chart happy when he told her. so he would walk in my apt about 7 15 am, and come in my room, at first he sat on a chair, then he was laying in the bed next to me watching t.v. while i did ALL his school work. all of asudden he was getting all A's. his mom flipped, he did too when she got his report card in the mail that day. he came in my room the next morning and grabbed me and was so happy that he no will graduate high school. the following week he turned 18, and i told him to invite his best friends over in the day and i would have a party for him, booze, pot and porn basicly. at about 215 everyone started to leave ,Sean was pretty hammered laying on the couch and i grabbed him and took him to my room to sleep on my bed, the couch sucks to sleep on. when he got to my room he said i need to piss walked in the bathroom peed and washed his face and came out with a towel around him, no clothes on an then jumped in my bed dropping the towel. i was already laying down and looking for the remote, he said he has it and he turned the t.v. on. what i forgot to do the night before was turn off the dvd player and switch the t.v. to cable. porn was playing, not that it was a bad thing, we all just watched porn in the living room for 6 hours, but because he was naked and i was next to him, all of a sudden he fast forwarded it then played it and turned it up. i was pretty shocked, hes a perfect 10, hottest girlfriend on earth and he's watching porn in my bed naked. i went in the living room and took a hit from the bong, he heard me hit it and asked me to bring it in the room, i did.
his entire body was under the blanket up to his neck and i could see wear both his hands were, on his cock, his 11.5 inch cock. hew asked me to light it and put it up to his mouth and he took 4 hits. he said he never felt this good b4. i should also state, i have fantastic impulse control but it was starting to fade away. i layed on my side of the bed an he said, its freezing in here get under the blankets. i did right after i took 5 nitro pills to get my heart started again, lol, jk. i got under them and he turned my way and said, thank you so much for today, the party and helping him so much, i forgot to say i taught him how to surf the summer before, he would borrow 1 of my boards, but i bought him one an told him close your eyes, i went into the closet and layed it on his body, he opened his eyes, and i could tell he was in shock, he got up out of bed, his dick as hard as it can be, throbbing up and down, he grabbed the board and couldnt believe it. he put the board up on the wall to see it, then grabbed me so fucking hard he cracked my back,., that felt good, but even better was his cock pressed against my ass when he grabbed me, anyway he threw me on the bed, im 6'1 he's 6'3 all muscle and he got on top of me sat on my chest and grabbed my hands and pinned me down and looked at me and just shook his head. he rolled off me layed on the bed got under the blankets so did i, he grabbed pulled me next to him, real tight. like i was pressed against his body and his arm around my neck pulling me closer, thats when i asked him to hand me the bottle of nitro bcuz i was having or near having a heart attack,,,, lol jk. he was jacking his dick with one hand i could feel the movement and then out of the blue he said, " HOW ABOUT A LITTLE HELP" after the paramedics defib'ed me hahaha. he grabbed my hand that was on his chest and pulled it onto his dick, he said promise you will never tell my mom about this, you know the answer to that one right? i started jacking him one handed and i said im going to move that way, he spread his legs open and when i got over them he put my pillow between his legs and pulled me down, i was just going to lay on that side of the bed to jack him with both hands but he had other plans.he grabbed my head with both hands and i had his diclk in my hand he said put it in your mouth and im going to ppush your head up and down so you dont bite it, it was that big....after blowing him that long, i couold barely open my mouth , i said can we lay side to side and ill suck it like that, we moved and he started pumping my mouth harder deeper and faster, he said why the fucking have i never tried it this was.he would pump then stop and his cock was throbbing so hard in my mouth, he said dont move at all or ill cum. he fucked the living holy hell out of my mouth for 4 hours, then he said oh fuck im cuming and grabbed my head and pushed it deep onto his dick and started to cum, he came so hard it came out my nose, i honestly thought i was going to drown, but thoughts of what my death certificate would say as the manner or death , i pushed back a bit with his cock still throbbing and cuming. it was so intense that he held my head in the same position, and pulled the blanket over us with his dick fully in my mouth and he fell asleep, i tried but i wondered if that would be the last time that dick would be in me, i just sorta cherrished the moment, and stayed away with his dick in my mouth, for the next 3 hours.
the funny thing is, this isnt the story i was going to tell. the story i was going to tell was, he has a only fans account and wanted me to help him fill it will slut porn we made, we ended up one night at the adult bookstore in north hollywood where my friend paul works. anyway, ill write the rest of that story tomorrow......
the picture is him in my shower

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