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Long Like The Neck Of An Ostrich

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scharfe Weiber in geilen Tangas

4,186 Uploads · 257 Members · 1 Forum Posts · 33,367 Visitors
Hier sind Girls die geile Tangas tragen ob unter der hose oder nur der tanga alle geilen ?rsche rein die vom arschritzenflitzer geschm?ckt werden.Gerne auch Blutjunge scharfe muschis im Tanga oder im minirock

Beach string bunnies

1 Uploads · 26 Members · 2 Forum Posts · 12,798 Visitors
Only hot beach chicks wearing a string tanga. No other panties please...

Microkini

4,443 Uploads · 761 Members · 87 Forum Posts · 458,148 Visitors
Let us celebrate the most skimpy bathing suits for women ever.They come under many different names: micro bikinis, extreme bikinis, mini bikinis, bikini dare, crotchless bikinis, seethrough bikinis, Xtreme tiny microkinis, sling bikinis or suspender bikinis, suspender thongs, slingshot bikinis or simply slingshots, sheer bikinis, or in French as "minime", etc.There are even spe...
Let us celebrate the most skimpy bathing suits for women ever.They come under many different names: micro bikinis, extreme bikinis, mini bikinis, bikini dare, crotchless bikinis, seethrough bikinis, Xtreme tiny microkinis, sling bikinis or suspender bikinis, suspender thongs, slingshot bikinis or simply slingshots, sheer bikinis, or in French as "minime", etc.There are even specific brands now famous for this: like "Wicked Weasel", "Colleen Kelly", "Malibu Strings", "Microkini-Beach", "Wicked Temptations", "aSS / a Swiss String", "NIXXXE", or "AlphaModa".This group is exclusively devoted to the Microkini aura. Every off-topic upload will be immediately removed, and the uploader deleted from the group.This is a woman-friendly group started and run primarily by women. Men are always welcome epecially when they are polite and supportive. We strive to stimulate female participation and female expression in the internet sensual, sexual, porn, and prostitution communities. It is quite natural that we are LGBT-positive. Lesbians, Gays, Bisexuals, Transvestites or Transgender are always welcome.You need to have an Avatar on Your profile.Otherwise you will be deleted as member. The microkini is the most tiny body garment to celebrate the female body.It has been created to reveal more than to hide.Woman is more nude in the microkini than wearing nothing at all.But that's the very reason why so many women love them so much.__________________________________________________________________________________Lasst uns die allerknappsten Badeanzuege fuer Frauen feiern.Es gibt sie unter so vielen verschiendenen namen: Micro Bikinis, extreme Bikinis, Mini Bikinis, gewagte Bikinis, fotzenfreie Bikinis, durchsichtige Bikinis, Xtrem kleine Microkinis, Sling Bikinis oder Schultertraeger Bikinis, Schultertraeger Tangas, Slingshot Bikinis oder einfach Slingshots, hauchduenne Bikinis, oder auf Franzoesisch als "minime", etc.Mittlerweile gibt es sogar bekannte Marken fuer Microkinis: wie "Wicked Weasel", "Colleen Kelly", "Malibu Strings", "Microkini-Beach", "Wicked Temptations", "aSS / a Swiss String", "NIXXXE" oder "AlphaModa".Diese Gruppe ist ausschliesslich dem Microkini-Flair gewidmet. Alle nicht zum Thema gehoerigen Uploads werden sofort geloscht und der Verantwortliche aus der Gruppe gestrichen.Dies ist eine frauenfreundliche Gruppe, primaer gegrunedet und betrieben von Frauen. Maenner sind immer willkommen, besonders wenn sie hoeflich und unterstuetzend sind. Wir moechten die weibliche Beteiligung in den sinnlichen, Sex-, Porno-, oder Prostitutions-Internet-Gruppen anregen und die weibliche Ausdrucksfaehigkeit foerdern. Wir sind selbstverstaendlich LGBT-positiv. Lesben, Schwule, Bisexuelle, Transvestiten oder Transgender sind immer willkommen.Du brauchst einen Avatar auf deinem Profil um Gruppenmitglied zu bleiben. Ansonsten wirst du geloescht.Der Microkini ist das allerkleinste Kleidungsstueck um den Frauenkoerper zu feiern.Er wurde geschaffen mehr um zu entbloessen als zu verhuellen.Die frau ist in einem Microkini nackter als ob sie gleich gar nichts anhaette.Aber genau darum lieben sie so viele Frauen....

Board Posts

-1
Anonymous
@confessions
03 Jun 2023 9:15AM
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Minirock im Alltag
Im Bordell, auf dem Strassenstrich, für Parkplatzsex, in Pornovideo tragen Nutten, Huren und Transen oft einen ultrakurzen Minirock, für mehr sexuelle Erregung der Kunden. Das Sexgewerbe lebt von Geld für Sex, schnell mal ficken lassen mit und ohne Gummi.
Wann animiert der Minirock zu Sex im Alltag. Kommt auf die Kürze an. Wird noch der Tanga öffentlich zur Schau gestellt, kann schon sein, dass jemand fragt ob er bürsten darf. Wird dazu noch das Handy eingeschaltet, also Sex vor laufender Kamera, ist gleich auch ein Porno für das Netz beisammen

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Anonymous
Anonymous

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9
csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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04 Sep 2017 10:46PM
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Confissão exibicionista de minha namorada
Minha namorada é uma coroa deliciosa com 52 anos de idade, bem branquinha com um corpo gostoso bem carnudo com tudo em cima, seios grandes e redondos, uma xota bem carnuda e suculenta em que adoro cair de boca e uma bunda bem gostosa e grande com rego grande e profundo que me deixa tarado e sempre querendo foder aquele cuzinho com minha língua e meu pau até encostar o saco. Ela adora dar o cuzinho pra um pau grande e grosso e até se mija quando goza. Outro dia ela contou em detalhes uma história que me deixou morrendo de tesão e muita vontade de ver ela fodida por outro homem. Ela contou que estava em sua casa sozinha, pois a filha adolescente (linda e gostosa igual a mãe) tinha ido visitar alguns amigos dela na vizinhança. Ela estava à vontade em casa apenas de calcinha e camiseta como sempre faz e resolveu tirar a calcinha (ela usa umas calcinhas tanga que marcam deliciosamente sua bunda em calças legging pretas finas que ela adora usar e me enlouquece de tesão imaginando a homarada de pau duro de ver aquele rabo que adoro lamber e meter meu pau até o talo). Ela ficou só de camiseta e chinelo aí resolveu tirar também a camiseta. Ela sempre fica bem à vontade quando está em casa sozinha ou só com filha adolescente. Elas dormem juntas na cama de casal às vezes e já imaginei aquelas duas delícias juntas só de camiseta dormindo a noite juntinhas debaixo do edredom e mil loucuras já pensei, pois adolescentes novinhas como a menina são curiosas sexualmente e ela tem uma prima lésbica e confesso que fantasio minha namorada ensinando as delícias do sexo entre duas mulheres para a própria filha. Incesto também faz parte de minhas fantasias sexuais. Naquele dia o portão da casa de minha namorada estava trancado. Ela estava totalmente nua e sentou na cama e peguei o teclado da filha e começou a brincar tocando algumas músicas que ela sabia. Estava distraída e de repente entrou no quarto um amiguinho da filha. Ele tinha pegado a chave e entrado sem fazer barulho e minha namorada é muito distraída. O menino tem 19 anos e é um rapaz gay e até tem um namorado e era passivo até onde minha namorada também confessou. Ela levou um tremendo susto na hora e ele saiu rapidamente do quarto tapando os olhos todo envergonhado e pedindo mil desculpas. Ela disse que ficou envergonhada e logo se vestiu e foi ver o que ele queria. Ela disse que ele tinha ido pegar notebook que a menina tinha emprestado para ele fazer um trabalho para a escola. Ela ficou envergonhada, mas no fundinho imagino que ela ficou com uma pitada de tesão, pois ela é exibicionista assumida (e adoro exibir ela e adoro ela ser exibicionista e toda exibicionista fica com tesão quando se exibe) e ela tinha contado que o rapaz até tinha tentado namorar algumas meninas. Quem sabe ele seja bissexual e tenha até sentido tesão por ter visto nua uma mulher com idade para ser mãe dele. Certamente ela sentiu na hora um misto de vergonha e tesão. A xotinha dela certamente estava latejando e chegou a molhar até escorrer naquelas coxas deliciosas, e o coração dela bater mais forte e barriga gelar. Certamente até aquele cuzinho que adoro lamber e enfiar  minha língua e meu pau tava piscando entre aquelas nádegas que adoro ver nas calças legging e também encoxar. Será que aquele pau dentro da cueca dele chegou a pulsar por ver nua aquela coroa com idade pra ser mãe dele? Queria que minha namorada iniciasse a filha dela e o menino gay na minha frente e eu comesse as duas (mãe e filha) e visse as duas se deliciando com o menino.

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@confessions
07 Dec 2021 6:21AM
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This Thanksgiving I was at my wife's sisters house for dinner theirs are 2 bathrooms and I usually use the one in the master bedroom because that's where she tells me to go if I want some privacy. I have been raiding her hamper for years in that bathroom. So , I take my normal lie route of "I gotta use the restroom" and I excuse myself. I go in, lock the door and run to the hamper! Normaly my sister in law is on top of all the house work so I would find 1 or maybe on very rare occasions 2 pairs of her panties . This time I found 3! Yellow satin lace trimmed booty shorts, gray cotton palm tree print booty shorts and a teal pair of sheer tangas! Holy fuck I'm in heaven ! I jack and sniff with them all and fucking cum HARD! Trying to squirt all the sexy panty crotches and wiping my cum on the seems that go up her butt! It was a fantastic panty hunt! I put it all back , clean up and head back to the holiday festivities. As I crack my 3rd beer feeling very good inside, I sit down in the living room next to my wife and as  I look around I realize, OH MY GOSH!  I just jerked off with my sister in law, my niece and my step nieces dirty panties! Holy fuck! Can't wait for Christmas!

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Anonymous
@confessions
23 Oct 2013 10:33AM
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Bueno pues esto empezó hace unos 2 años al principio (no digo que piense que a ella le gusta) pero mi madre guardaba su ropa en sus cajones, y no le tomaba mucha importancia pero hace unos 6 meses decidió guardar toda la ropa en una bolsa, y obviamente la tenia escondida, pero apenas hace 2 meses decidió sacar la bolsa, y en ocasiones la deja abierta todo el día ya no la esconde imagino que esto lo hace a modo de ayuda para evitar que vea las cosas con morbo o ustedes que opinan?

Estoy buscando ayuda porque he pasado de solo masturbarme con ellas ha eyacular sobre ellas, obviamente las lavo y las regreso a su lugar, pero quisiera saber el masturbarme con las tangas de mi mama es normal a mi edad?

Tengo 18 años, aun no te he tenido relaciones sexuales, no soy un depravado sexual ni mucho menos, pero quisiera que me orientaran en que hacer y como buscar ayuda o si esta bien, por favor espero su amable respuesta y de antemano gracias por su tiempo

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Sunae
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@requests
15 Dec 2021 6:59PM
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Since a while im interested in Crossdressing.New Year is soon so what better way to start then making it a new Year resolution. 
If I manage to gatter enough Corage, I will by some Items. I wish some Crossdressers, and Trans People would give me a little bit of Feetback. We can also talk a little if you want.
If your just horny for femboys, your welcome to.
I made a few Pics of me you can check out on my Profilpage.
And I can make more if you need more Context. But if I paint my Nails, what would you recommend for me? I was thinking of Green, or Blue. 


For me dressing, I found this super cute Item.Pink would be to pale on me I fear. https://ebay-kleinanzeigen.de/s-anzeige/dessous-lingerie-unterwaesche-reizwaesche-erotik-neu/1954879510-154-3417
And I allways wanted to wear Suspenders.https://ebay-kleinanzeigen.de/s-anzeige/strapsguertel-nylon-strumpfhalter-dessous-reizwaesche-gr-36-38-neu/1915286572-154-941whit that Tangahttps://ebay-kleinanzeigen.de/s-anzeige/damen-tanga-slip-neu-/1960703061-154-2829I souldnt forget looking up the Sizes later.

So ahem, so yeah, from the little you saw, would I look cute in it? And which Colore would fit me?

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Still_Anonymus
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@confessions
01 Jun 2017 1:52PM
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Part 18: Need for Adventure [rest of the story on my profile :) ]

Since we moved into the new house, my sexlife has gotten a bit stale. Yes, I was fucking Haley and Anna on a daily basis, but it became a routine. Anna felt the same way. So we had to spice things up a little.

So once again, I was out for prey. At that point I was 31 or 32 years old. I was a trainer for a sport (on amateur level, so training once a week) and let me just say I work with 18-25 year old girls in tight sport outfits. I often heard rumors of one of "my girls" having a crush on me, but I never hooked up with any, because I thought it was too dangerous. I still was close with all of them, they were very open towards me. Since I got married even more of the girls were interested in me (thats what I've heard). Some even openly told me how lucky my wife was and how they would swap with her if they could (told as a joke). Now most of them had boyfriends and the one I was interested in was no different. Her name is Katy, some call her Kat (because she could move just as elegant as a cat).
She is a slim, short (5ft4) brunette with b-cup tits, 21 years young. Her long hair is usually in a ponytail, her sports outfit is a black crop top and black skin-tight shorts. I heard rumors that she had a crush on me some years ago and back then she would always try to get my attention by choosing sexy outfits and getting close to me if possible. I never let her close enough though, so she gave up eventually.

From time to time we had training weekends/weeks. We often went to some training facilty near a lake, this time it was no different. We started training on monday. I had a harsh program for the girls: three training units per day. In between they could cool off in the lake. Just imagine a group of young women sweating, running, being athletic. Then they all get their bikinis out and go swimming. I loved the job as a trainer. At the end of the third unit on monday I let all girls but Katy leave. Her head was red, her body sweaty. She barely looked me in the eyes and seemed frustrated.
Me:"Katy, whats going on? You didnt seem to be on top of your game today."
K(looking at her feet):"Sorry coach."
Me:"Come on, you know I you dont have to apologize to me! I just want to know whats going on."
K:"I guess I had my head elsewhere..."
Me:"Look at me Katy." She did. "We both know you can do better. Next time, breath deeply, focus on the game. Okay?"
K:"Okay."
Me:"And now I wanna see that smile of yours again."
K:"I... I dont feel like..."
I hugged her, pressed her against my chest. First she didnt react but then she put her arms around me too.
K:"Thanks I needed that."
Me:"Now there is the smile I was missing all day. Now get going! You dont wanna miss the swimming do you?"
K:"Why dont you join us? That would be fun."
Me:"Okay I guess."

I got changed and went to the lake. Katy was right, it was a lot of fun. I played with the girls and dunked some of them.
Afterwards we ate dinner and soon went to bed.

Tuesday, we all got up early, had breakfast and went to training. Katy did far better this time. When ever she looked at me I gave her a thumps up. I was rewarded with broad smiles. The day as a whole went well. In the evening I had a movie evening planned. Almost everyone was there, but Katy and some of her roommates were missing. They came 5 min later and without Katy. They told me that she was upset about something and wouldnt come. I told them to start the movie and that I would get her. I got to her room, the door was closed. I knocked. No answer. I called her name but she would answer. So I just went in. She was laying on her bed, crying. I sat besides her and put a hand on her back. She twitched away for a second but then let me. When she would stop sobbing, I pulled her up and into my arms. It was an awkward position and soon my back stiffend.
Me:"Come sit on my lap." I basically pulled her onto my lap and she hugged me and sobbed at my shoulder. Finally she calmed down a little.
Me:"Whats going on?"
K:"Remember how I told you that my head was elsewhere? It's about my boyfriend. I think he wants to break up with me."
I hugged her tightly. A sigh escaped her lips.
Me:"Do you want to talk about it?"
K:"No... please just... hold me..."
She then sat with her face to me on my lap, pressing her chest against me and resting her head on my shoulder. I stroked her back slowly. She relaxed and sunk onto me even more. How her pants were touching my pants. I tried suppressing my erection and for a while I succeded. I stopped stroking her back to make the situation less intimate, but she immediately said "No, please go on... it feels so good..."
So I continued. After a while she said
K: "You know, I think he doesnt find me attractive anymore..."
Me:"Oh come on thats nonsense. You are a beautiful young woman."
K: "You think so?"
Me:"Yes! Whoever says something different is an idiot."
She leaned back a little to look me in the eyes.
K: "That's so sweet of you!"
Then she looked down at herself and me and said
K:"Wow, what would your wife say if she found you flirting with a girl in this position?"
Me:"Well I wont tell her..."
K:"Me neither. So we are good. Could you keep hugging and stroking me. It really helps."
So I did. Her head was on my shoulder again and when I started stroking her back, she moaned a little. I couldnt help it, I was getting hard. I thought she had to feel it eventually.
K:"You know, my BF would never stroke my back like that."
She started purring silently. She leaned back again, her eyes locked onto mine, her look dreamy. Her hands worked their way up to my face. Then she kissed me. I was hard as stone in a split second. Quickly Katy retreated, looking shocked.
K:"I shouldnt have... I'm sorry, I ... I just..."
I just shook my head.
Me:"Its all right, dont worry."
K:"Is it though? Just look how wet I got from that!"
She pulled her pants to the side and revealed her wet panties.
She then looked up at me and said
K:"But it looks like you enjoyed it as well."
Me:"Cant say I didnt, I guess. But we shouldnt tell anybody about it."
Katy nodded, got up and said:"I sorry, it wont happen again, I promise."
Me:"Dont worry about it. Just get cleaned up and come to the movie okay?"
K:"Yessir! I'll be there in a minute."
I left her room and went to the movie. Katy came some minutes later. She looked fine. Over the course of the movie, whenever there was a kiss scene, Katy would look at me and bite her lip. I acted like I didnt notice.

Wednesday started normal. In the traning, Katy was doing okay, not as badly as monday, but worse than tuesday. I also noticed that she looked at me more frequently than usual. She was also wearing no sports bra as far as I could see. Also her string tanga was clearly visible over her ass and the outline under her shorts were visible as well. I had a hard time fighting my boner. My pants werent very loose so I had to be careful. After the noon training, the girls went to shower while I was cleaning up the sports hall. When I was done, most of the girls were already done showering and left the building. I went into the shower as well, which is right next to the womens shower. I heard some more girls leave. When I was using my shampoo, I heard moans from the womens shower (my shower was off at that time, thats why I heard it. Also the shower rooms have no door, just a vision block). I washed out the shampoo and afterwards the moans had stopped. I quickly got dressed and left the gym. I caught a glimpse of the girl walking away. It was Katy.
After that the day went on as usual, until after the afternoon training. Again, most of the girls had already left. When I went to the shower I heard two girls talk. One was Katy, the other one was Rachel, a tall blonde with striking looks.
R:"What are you doing?"
K:"Nothing?"
R:"Come on, you do not cleaning your pussy for 5 minutes straight. Are you rubbing yourself?"
K:"So what?"
R:"Nothing just... Who are you thinking about?"
K whispered something.
R:"The coach? No way. I mean... he is hot ..."
K:"Yeah right? I cant get him out of my head. His tight shirt... And I'm pretty sure I saw a little bulge in his pants."
R:"Yeah I think you're right... And now that you're standing in front of me like that... I'm really turned on..."
K:"Come here.."
I stood there stunned. I heard two of the hottest girls in my team making out and fingering each other. I mean, I heard rumors that this has happend in my team before, but I never believed it. I was too afraid to turn the mens shower on, they might know that I am there then. So I just stood in silence and listened to them finger fucking each other. I hid in the mens shower room and started masturbating. When Rachel and Katy came out of the showers, Katy said:
K:"Would you kiss the coach if you had the chance?"
R:"Hell I would fuck him if I could."
In that moment I shot my load on the floor. I cleaned up after myself and went out as well.

Thursday had both Rachel and Katy watching me closely. They also winked at each other a couple of times. They were playful around me but never dared to touch me for too long. When we were swimming in the afternoon, that changed. They were constantly on me, trying to dunk me. I was still taller and stronger than them, but it was actually challenging to fend of both. I then went for a swim, leaving both of them behind me. When I came back, all but Katy had left. She met me at a depth were she could barely stand.
K:"Coach, I have to talk to you."
Me:"Here? Well okay, what is it?"
K:"I have been thinking about the kiss..."
Me:"And?"
K:"Well... I got so horny I started masturbating thinking of you..and...I really want you and..."
Me:"And what?"
K:"And I'm not wearing bottoms right now."

She lifted her hand out of the water, in it the bikini bottoms. With the other hand she grabbed my dick. I was already getting hard, but her strokes made me harder instantly.
Me:"Do you really think this is a good idea? I have a wife and you have a boyfriend..."
K: "So its in our both interest that this stays between us..."
Me:"I see..." With that I grabbed her and pulled her close.
Me:"But what about the others? they may see us."
K:"They are all at dinner. They wont see anything."

We made out while she was still stroking my cock. I stroked her back in return, getting some purrs out of her again. She wrapped her arms around my neck, pulled herself up a little and whispered in my ear:
K:"Please fuck me coach."
She wrapped her legs around me as well and I lifted her up by her ass. I slowly lowered her onto my dick. When I pushed in the tip she moaned.
K:"Damn, I didnt know you were so big Coach. My BF is so much smaller... ouuuuuh"
My hips moved back and forth a little, penetrating her a little more every time.
K:"Uhh yes. Oh. Slowly, just like that...You are so big.."
When I finally had my whole dick in her she was purring in my ear.
K:"Fuck my tiny pussy slowly Coach..."
So I did. We made small waves, but no sound. I kept fucking her slowly, after 5 min she had her first orgasm and collapsed into my arms.
K:"Keep going, I still want more...."
And so I did. After another few minutes she said "Now fuck me harder. Harder. Even harder. Come on FUCK ME"
I fucked her as hard as I could in the water, she pressed herself against me bit my shoulder and came again. I shot my load into her pussy just a few seconds later.
K:"That was... amazing..."
We parted ways then, she went to dinner asap and I waited for a while before going.

To my surprise, Katy really kept her mouth shut. Friday went by without another incident with her. But Rachel actually sprained her ankle after having a cramp in the noon pratice. So I helped her to the med room, helped her lay down. She was wearing a sports skirt which is kinda uncommon for the type of sport we are doing. She was still panting heavily from all the running.
Me:"I'll take off your shoe and have a look at your ankle alright?"
R:"Okay coach."
I pulled of her shoe and sock, hurting her in the process.
Me:"I'm sorry, I didnt mean to hurt you."
R:"Its okay, I like it rough" and laughed. I laughed with her. The ankle didnt look too bad, so I just got some ice spray to cool it. After I had applied the spray...
R:"Coach? Could you help me get rid of the cramp as well?"
Me:"Sure, what shall I do?"
R:"Can you massage my calves and thighs?"
Me:"Sure thing."
I started with the calf of the leg with the sprained ankle. Rachel laid on her back, the massaged leg bent and the other one straight. She had spread her legs a little so I could see her panties. Her eyes were closed. As I worked up my way to her thighs she bit her lip and whispered "oh yes.. thats good... keep going..." I intended to only massage half of her thigh so I would get too close to her pussy, but she insisted that I should go the full distance. She moaned ever so slightly as my fingers were just inches from her pussy. After my fingers "accidently" touched her panties I could see a wet spot forming on them. After I was done with the first legs I excused myself and went into the sports hall again to tell the other girls what they should practise for the next few minutes before taking a shower. When I went back to the med room I heard Rachel moan even before I opened the door. I knocked and went in immediately. So I caught a glimpse of her wet pussy before she covered it up. She didnt manage to pull the panties all over it, so it was still only 3/4 covered.
Me:"Sorry, I had to tell the girls what to do. How do you feel now?"
R:"errrr... I .. I already feel a bit better but... could you still massage my other leg please?"
Me:"Sure, thats what I came back for."
So I worked my way up her other leg, while she once again closed her eyes and bit her lip from time to time. When I reached the end of her thigh, her panties were soaked and the part of her pussy that I could see wet from her juice. When I pulled back my hand, she grabbed it and said "Thank you Coach...." and looked me into the eyes. I broke eye contact and said "I will send one of the girls to pick you up and go shower, do you want someone in perticular?"
R:"Can you send Katy?"
Me:"Sure, she'll be right with you."

When I found Katy and told her to get back to Rachel, she looked at me suspiciously but said nothing. She kinda brushed me off.

I went to the showers myself and when I was done I heard Rachel and Katy at it again. I didnt dare staying as long as last time so I went out.

The afternoon practice went normal, but Katy seemed to be mad at me. Easy to guess why. Maybe Rachel even told Katy that I fucked her. I didnt know.

On Saturday, we had a show match against another team. I had told Anna about what happend, but not my wife. Anna and Haley came to the game, while Jim watched the house. Some parents of the girls were there as well.
We won the game, partially thanks to Katy. When it was over, all the girls went to the shower together, even Rachel. It was their kind of "aftershow party". Meanwhile I talked to Anna and Haley. After half an hour I excused myself and went to the shower as well. During the shower I thought about Katy and Rachel. The thought of their wet pussies made me hard. I had my back to the entrance, so I didnt hear her come in.
"Coach?"
I turned around. Katy was standing in the door, already fully dressed.
Me:"Hey."
K:"So... who is your favorite girl in our team? I heard what you did to Rachel. Sounded like you didnt want me anymore... So I came here to make sure that I'm still your favorite."
With that she began stripping out of her hot pants, tank top, bra, panties. When she was naked she asked:
K:"Do you like what you see? Your penis does I think."
I could only nod. She flung her cloths behind the door and came up to me. She jerked me off for a while, then started blowing me. I pulled her up, pushed her against the wall and started fucking her while the shower was raining down on us. I started slow again, but Katy asked for more and more. When I reached full speed she tried to speak but only got out one word per pounce.
K:"Wow..I..thought..you..were..fucking..me..hard..in.. the water.. but this.. is.. so..much.. faster... uggggghghgh"
I came deep inside her pussy, ramming in one last time. She collapsed into my arms immediately.
Just as Katy got dressed behind the door, there was a knock on it. The door opened a little and I heard Haleys voice "Hey are you okay? You're taking very long in there."
Me:"Dont worry, I'm done, I'll be out in 5 min."
Katy remained silent, not moving at all. After Haley left and we both had dressed, she kissed me on the cheek and whispered
K:"Btw. Im not on birth control."
I looked at her, stunned.
K(smiling):"Dont worry, I wanted to get pregnant from my BF anyway. We have been trying for several months now. Maybe your sperm is more potent..."
Me:"Well I got.." I almost said four.. "two kids. What if you really get pregnant? You could ruin my life."
K:"If I really get pregnant it will safe my relationship. Not getting pregnant is the reason why I think he wants to leave me. I would be forever grateful. I wont bother you, I promise."
Me:"Okay okay..."

I left the shower after saying goodbye. I found Haley and Anna waiting outside. A young man was standing with them. He told me he is Katies BF and was looking for her.
Me:"Well I havent seen her. Maybe she forgot something and went back to her room." I described the way to her room and he went off. When I looked at Anna she winked at me. I guess she figured out somehow...

From time to time I recieved selfies of Katy, but we didnt have sex again.
Several months later, Katy left the team because she was pregnant. I never found out if it was mine.

End of Part 18

Next story will be more about Anna again :)

Thats Katy in the pic btw

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vaginessa
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08 Apr 2022 2:43PM
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Ich, 42, 184, 78kg, trage gerne Strumpfhosen/Nylons & Strapse, Miniröckchen & Tanga, Pumps/HighHeels & dazu nuttig-rot lackierte Zehennägel... Du bist ca. 40 bis 75+ Jahre dick/dünn/gross/klein/egal auf jeden Fall dominant/aktiv magst DWT bist idealerweise besuchbar ...und... würdest mich gern zum gehorsamen Sexsklaven formen? häufiges Mundficken (Deepthroat) augiebiges Rosette/Eier lecken Sperma ins Gesicht gespritzt kriegen & schlucken angepinkelt werden, schlucken lernen mich unter Deinen Augen mit Dildos vorzudehnen...

Sissybitch & Fuckmeat
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Anonymous
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12 Jan 2017 8:09PM
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Stranger: w sucht w
You: w findet w
Stranger: sehr gut =)
Stranger: wie alt bist du den
You: 21. Und Du?
Stranger: 19
You: Oh, jung und unverdorben ^^
You: Wo kommst Du her?
Stranger: genau
Stranger: Frankfurt du
Stranger: hast du toe
You: toe? Komme aus Köln
Stranger: ok
Stranger: wie WhatsApp nur anonym
You: ah. Nee, kenn ich nicht
You: bin nur über umwege hier hin gekommen.
Stranger: ok
You: Was machst Du wenn's Tag ist? Studieren? Ich studiere Mathe und Geschichte auf Lehramt
Stranger: oh eine Lehrerin
You: noch lange nicht
Stranger: ich mach ne Ausbildung als bürokauffrau
You: OK. Auch cool. Viel Schule, oder?
Stranger: ja schon ....
Stranger: beekomm ich von dir auch eine Strafarbeit ?
You: Warst Du ein böses Mädchen?
You: Kann mir schon vorstellen, Dich in die Ecke zu stellen, wenn Du nicht gehorchst.
Stranger: ja war ich ....
You: Hast Du wieder geschwätzt im Unterricht?
Stranger: jaaa....
You: dann komm her zu meinem Pult
Stranger: komme vor zu dir
You: Mach Deinen Rock auf und beug Dich über meinen Tisch
Stranger: ich rede nicht mehr im unterricht
You: Du brauchst trotzdem eine Strafe dafür, dass Du es getan hast. Die Regeln waren klar
Stranger: hebe den rock an und beugfe mich über den tisch
You: Ich ziehe Dein Höschen runter bis zu den Knien.
You: "Schaut Euch an was mit denen passiert, die sich nicht an die Regeln halten"
You: Dann schlage ich mit der flachen Hand auf Deine linke Pobacke.
Stranger: zucke zusammen ..... auu
You: ich gebe Dir das selbe auf die rechte
Stranger: zucke noch mehr zusammen auuuu...... das tat weh
You: immer Abwechselnd, bis beide Seiten je 10 Schläge abbekommen haben. Schön rot werden Deine Backen
You: Danach darfst Du Dich in die Ecke stellen und Deinen süßen Arsch der ganzen Klasse präsentieren, bis die Stunde vorbei ist.
Stranger: zum schluss kommt mir ein tränchen herunter aber irgendwie gefällt es mir
You: Als es läutet darf die Klasse gehen, aber Du bleibst
Stranger: ich bleibe da und frage mich hoffentlich gibt es noch eine kleine Bestrafung
You: Ich zitiere Dich zu mir und lege Dich übers Knie. Ich genieße den Anblick deines roten Arschs. Und sehe ich da Säfte aus Deine Muschi laufen?
Stranger: bitte nicht schon wieder auf den arsch .... ja es läuft sehr sogar
You: Ich nehme meinen roten Korrekturfüller aus der Tasche.
You: Ich frage Dich: "Was soll ich jetzt wohl mit Dir machen?"
Stranger: ich grinse dich an muss ich dazu noch was sagen ?
You: Ich spuck Dir auf Dein Arschloch und schiebe Dir den Füller da rein. "Das freche Grinsen vergeht Dir noch, Du Schlampe"
Stranger: nein nicht da rein stöhne ich
You: Ich schlage Dir auf den Arsch, dass alles wackelt. "Keine Wiederworte, Schlampe"
Stranger: ahhhhhhhh
You: Ich schieb Dir zwei Finger in die Muschi
Stranger: ahh jaaaa
You: Dann fick ich Dich mit dem Füller "Gefällt Dir das etwa, Du versautes Stück?"
Stranger: ohh jaaaa mach weiter
You: Ich schau, was ich noch in meiner Aktentasche finde.
You: Oh guck mal, ein Glasdildo. Wie kommt der denn darein?
You: Ich schieb den Dildo statt meiner Finger in Deine Muschi. "Los, Schlampe, besorg es Dir selbst!"
Stranger: ich nehme den dildo in die hand und drücke ihn mir tief rein
You: "Ich wusste doch, du kannst doch was lernen, wenn man nur die richtigen Methoden anwendet Schauen wir doch mal, ob Du andere Sachen schon weißt".
You: Ich pack Dich und bugsiere Dich so, dass Du vor mir kniest
Stranger: ich schaue mit meinen augen zu dir hoch
You: Ich trage auch einen Rock und darunter einen Tanga. Traust Du dich, mir auf die Wäsche zu schauen?
Stranger: ich schaue langsam runter ....
Stranger: und schaue dir zwischen die beine
You: Ich knall Dir eine. "Wo schaust Du hin?" Dann pack ich Deine Haare und zwinge Dich, genau dahin zu schauen.
Stranger: auu... es tut mir leid ....
You: Ich ziehe Deinen Kopf zwischen meine Beine. "Zieh mir den Tanga aus - mit dem Muns"
You: *Mund
Stranger: ich beiße zärtlich zu und ziehe ihn aus
You: Ich hebe ein bisschen den Arsch, damit es auch geht
You: "und jetzt leck mich! lass mich spüren, was Du kannst"
Stranger: ich fange an dich erstmal am kitzler zu küssen
You: hmmmm
Stranger: fange an dich zu lecken
You: du bist eine - keuch - gute Schülerin
Stranger: ich gehe tiefer und lecke dir am loch
You: Hmmmmmm... wie geht es Dir dabei?
Stranger: ich werde immer geiler mein vötzchen läuft schon aus
You: Das ist gut. Denn ich kann Dich ja nicht lange an meiner rummachen lassen - weswegen ich Deinen Kopf jetzt auch wegreiße. "Und, wie schmeckt eine richtige Frau, Schlampe?"
Stranger: ohhh sie schmeckt sehr geil...
You: "Dann kannst Du es ja mal vergleichen!" Ich zieh Dir den Füller aus dem Arsch und pack Dich am Hals, stoße Dich auf dem Rücken auf meinen Tisch. Dann zieh ich Dir den Dildo aus der Fotze und halt ihn Dir an den Mund
Stranger: ah stöhne leicht ...und nehme ihn in den mund deine muschi schmeckt besser
You: "Willst Du auch am Füller lecken, Schlampe?"
Stranger: nein bitte nicht
You: Ich nehm Dir den Dildo weg und halt den Füller an den Mund. Dann halte ich Deine Nase zu. Mach den Mund auf, Du Dreckstück
Stranger: ich versuche die luft an zu halten aber irgendwann öffne ich ich
You: Ich schiebe Dir den Füller rein, tief. Aber nicht so tief, dass Du kotzen musst. "Saug dran, Schlampe"
Stranger: ich sauge ann ihm und ´lutsche ihn sauber
You: So ist es brac
You: brav
You: Ich gehe einen Schritt zurück und betrachte Dich. Den Füller im Mund, die Fotze nass, die Nippel stehen hoch. Ich schiebe Dir den Dildo in die Fotze, drehe ihn, ziehe ihn wieder raus
Stranger: ahh stöhne ich kurz auf während du ihn rein schiebst
You: Ich schiebe zwei Finger hinterher und ziehe Mösensaft auf dein Arschloch. Dann spucke ich nochmal extra auf den Dildo und schiebe ihn dir langsam, aber mit Kraft bis zum Anschlag ins Arschloch
Stranger: ahhh schreie ich und mir kommt eine träne
You: Dann nehme ich mir Deine Fotze vor und lecke sie, wie Du es noch nie erlebt hast. Ich fange damit an, langsam an den Lippen entlang zu lecken
Stranger: ahh ich geniese es und fange an immer lauter zu stöhnen
You: Hoch und runter, mal links, mal rechts, mal mit ein bisschen knabbern mal ohne.
You: Und dann stoße ich mit meiner Zunge in dein Loch.
You: und lecke in der Mitte entlang hoch
Stranger: oh Gott..... ich komme gleich ...
You: Dann nehme ich Deinen Kitzler zwischen die Lippen und sauge ganz leicht daran.
Stranger: ohhh jaaa
You: Mit der Zungenspiztze lecke ich darüber
You: Während ich Deinen Kitzler lecke, schiebe ich Dir zwei Finger in die Muschi und ficke sie
You: Ich genieße es, den fetten Dildo in Deinem Arsch zu spürem
Stranger: ahhh jaa
You: spüre ich etwa schon, wie Deine Muschi sich zusammenzieht?
Stranger: jjjjj
You: Ich lecke weiter Deinen Kitzler und ficke deine Muschi schneller und schneller
Stranger: babe .... es war geil ch bin grad so gekommen
You: Das war ja der Spaß.
You: Wenn du jetzt hier wärst, würde ich mich auf dich hocken.
You: Dann dürftest Du *mich* lecken, bis ich komme.
Stranger: ohhhja
You: Aber ich glaube, das lassen wir lieber - ich bin zwischendurch auch hart gekommen, und Fantasie und Erinnerungen sind zu schön, um sie Durch die Realität versauen zu lassen... Schlaf gut, Süße. Träum was schönes und denk an mich.
Stranger: schlaf gtu
Stranger: danke

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@chicks
30 Jun 2019 6:46AM
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sexy patientin im tanga

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@random
08 Feb 2022 12:38PM
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Am I the only guy who likes sneaking into his friends wifes hamper or panty drawer and getting her thongs or tangas to sniff and cum on? 

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07 Jul 2023 12:41PM
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Transhure zum Vergnügen. Dass eine Transhure interessant sind, zeigen die Suchanfragen zu „Shemales” auf Pornowebseiten und das steigende Interesse an Tranny Escorts und Transen-Bordellen. Auch auf dem Strassenstrich gibt es Transen für sexuelle Abenteuer. AO-Sex, tabulos, alles ohne Gummi reizt, das Risiko spielt mit. Bild zeigt eine zeigefreudige und freizügige Tanse slipless (ohne Tanga)
Trans whore for pleasure. Search queries for "shemales" on porn websites and the increasing interest in tranny escorts and tranny brothels show that a trans whore is interesting. There are also trannies for sexual adventures on the streets. Bareback sex, no taboos, everything without a condom is tempting, the risk plays a part. The picture shows a revealing and revealing tanse slipless (without a thong)

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