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French Hookers - Putes Françaises

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Vernuttung - Whorization - Putisation

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Jede Frau soll eine schamlose Nutte werdenEvery woman should become a shameless whore.Chaque femme devrait devenir une pute sans pudeur.ENGLISH/ENGLISCH/ANGLAIS:This is an international group (in English, German, and French) to promote the general "whorization" in our society - primarily the whorization of women, but of trannies, transgender, and heterosexual men as well.Whoriz...
Jede Frau soll eine schamlose Nutte werdenEvery woman should become a shameless whore.Chaque femme devrait devenir une pute sans pudeur.ENGLISH/ENGLISCH/ANGLAIS:This is an international group (in English, German, and French) to promote the general "whorization" in our society - primarily the whorization of women, but of trannies, transgender, and heterosexual men as well.Whorization is an important instrument in the sexual liberation (of all people, but of women in particular). Contrary to anti-porn, or anti-prostitution-feminists we assume that it is the complete legal freedom of prostitution, whoring, sexwork (and every pornography production as well) that is essential for our sexual liberation, and the preservation of our sexual rights and freedoms.DEUTSCH/GERMAN/ALLEMAND:Dies ist eine internmationale Gruppe (in Deutsch, Englisch und Franzoesisch) zur Foerderung der allgemeinen "Vernuttung" in unserer Gesellschaft - vor allem der Vernuttung von Frauen, aber auch von Transen, Transgender-Personen und heterosexuellen Maennern.Vernuttung ist ein wichtiges Instrument zur sexuellen Befreiung (aller Menschen, aber besonders von Frauen). Im Gegensatz zu Anti-Porno- oder Anti-Prostitutions-Feministinnen gehen wir davon aus, dass die voellige rechtliche Freiheit von Prostitution, Hurengeschaeft und Sexarbeit (aber auch jeglicher Porno-Produktion) essentiell ist fuer unsere sexuelle Befreiung, und die Bewahrung unserer sexuellen Rechte und Freiheiten.FRANCAIS/FRENCH/FRANZOESISCH:C'est une groupe internationale (en Anglais, Allemands et Français) pour promouvoir la "Putisation" générale dans notre société - essentiellement la putisation des femmes, mais des transsexuels, des transgenders, et des hommes hétérosexuels aussi.Putisation est un instrument important pour la liberation sexuelle (des tous gens, mais des femmes particulièrement). Contrairement aux feministes anti-porno ou anti-prostitution nous supposons c'est la liberté légale totale de prostitution, être-putain, travail du sexe (et de production pornographique tout-entière) qu'est essentielle pour notre liberation sexuelle et la protection des notres droits et libertés sexuels....

PAR LES CHEVEUX, HAIR PULL

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Girls love their beautiful long hair and we love them too.Because hair is the easiest way to drive a bitch who pretends she doesn't want. Ideal to explain her what you want, to convince her for anal or deep throat.ONLY HAIR PULL PICS HERE.Les filles adorent leurs cheveux et nous aussi on les aime.Car le meilleur moyen de dresser une pute récalcitrante qui fait semblant de "pas vouloir", c'est les cheveux. Idéal pour lui demander tout ce que vous voulez, anal, gorge profonde etc.PHOTOS DE SALOPES TENUES PAR LES CHEVEUX UNIQUEMENT.

Gypsy, Rom, gitanes

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gypsy hookers , Putes Gitanes, Manouche , gypsi , gipsyBohemian

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08 Oct 2018 11:54AM
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Ma pute

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08 Nov 2022 6:36AM
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Fanny la pute de Vescemont 

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29 Mar 2024 3:14PM
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Emma est ultra chaude avec le printemps elle rayonne cette jeune pute à queues 

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20 Apr 2024 2:11PM
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 aysha la mère des putes musulmanes et épouse du batard Muhammad , nous montre comment casser le RAMAZAN, la rupture du jeûne 

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Jojo1493
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30 Dec 2023 9:50AM
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Ma pute

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csml
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05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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27 May 2014 5:19PM
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Super pervers cherche perv de Montreal qui aime parler de porn très hard ou encore mieux, si tu aimes show off ta blonde/ex/tes amies fbook qui ont lair des putes etc... jadore parler de plote entre pervers vulgaire, peu de taboo, si tu te reconnais fais moi signe

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29 Aug 2022 1:35PM
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Puting it in n out feels great now

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03 Apr 2024 1:25AM
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Pute française 

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15 Dec 2013 3:15AM
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You're now chatting with a random stranger. Say hi!
Question to discuss:
you horny?

You: yea

Stranger: yup

Stranger: ;)

You: m or f?

You: m here

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You: age? I am 48

Stranger: 25

You: do you want to cyber

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You: why not?

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Stranger: hmm..

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You: I would spank you

Stranger: :)

Stranger: mm..

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You: pull up your skirt

Stranger: yes

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Stranger: i am

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Stranger: mm

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Stranger: mm

Stranger: i will get hurt

You: i would not spank hard enough to hurt you

You: but enough to make ur ass nice and pink

You: and when your ass is nice and pink gently put skin lotion on it

You: but i would spread the lotion on your inner thighs too

Stranger: why skin lotion

You: watch your reaction as i move my hands close to your pussy

You: skin lotion with vitamine E is the best thing after a spanking

Stranger: mm

You: i would take my time with the lotion, stroking ur ass and your thighs, watching for signs of arousal

Stranger: how will you know that i got aroused

Stranger: :)

You: listen to you, look at movement of your hips, look at your pussy

Stranger: what my pussy will say

You: watch for it opening up

Stranger: i won't open

Stranger: :p

You: how far between ur thighs would you let my hands go

Stranger: to the extreme

Stranger: :p

You: i would touch ur pussy lightly at first, watching ur reaction

Stranger: mm

You: stroking ur pussy gently

Stranger: hmm

You: gently touching ur clit

Stranger: say about my clit

Stranger: :p

You: gently moving my finger around it in a circular motion

Stranger: mm

Stranger: i like that

You: keep doing that

Stranger: mm

You: watching ur hips wiggle

Stranger: mm

You: you are such a good girl

Stranger: thank you

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Stranger: mm..

You: feeling for ur pussy opening up

Stranger: mm

You: gently fingering your opening

Stranger: mm...

Stranger: i lve it\

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Stranger: i feel full

You: picking up the speed with my finger inside you

You: listening to you moan

Stranger: i won't moan

Stranger: :p

You: do your hips wiggle

You: back and forth

Stranger: mm

You: you are getting really wet arent you

Stranger: mm

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Stranger: i love it

You: you know what comes after a spanking don't you baby girl?

Stranger: what will come/

Stranger: ??

Stranger: :

You: oral sex

You: picking you up and getting you down in front of me

You: undoing my pants

You: guiding ur mouth towards my cock

Stranger: mm

You: gently fucking ur mouth

Stranger: mm

You: you are such a beautiful sexy girl

You: love seeing my cock go in and out of your mouth

Stranger: i will bite it

You: ow!

You: you bitch!

Stranger: you hurt

Stranger: :(

You: depends on how hard you bit it

Stranger: sorry

You: no teeth baby girl

You: you have to be careful

Stranger: mm

Stranger: i will bite with lips

You: mmmmm that feels good baby

Stranger: mm

You: baby do you want me to cum in ur mouth or ur pussy or ur ass?

Stranger: ass

You: puting you on the bed, face down, pillow under ur hips to raise ur ass

Stranger: mm

Stranger has disconnected.

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08 Jun 2022 2:54AM
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j adore caresser mes seins de belle pute

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25 Jul 2016 8:52PM
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Talk to strangers!
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You both like Roleplay.
Stranger: M 23
You: hi
You: i am who you want me to be
Stranger: I want a red head, a goth with a big ass
You: f 19
You: redhead, dressed in all black, my ass is a bit too big
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You: i am wearing a short skirt you can tell there are no panties
Stranger: What's your name slut
You: What the fuck? Why are you callng me that asshole
You: fuck off
Stranger: I meant the goth girl, not you personally
You: yea i am the goth girl, and fuck off
Stranger: Can you blame me for assuming you're a slut? I can see your pussy if you so much as lean over in your skirt
You: you can at least watch your languge
You: even slutty girls dont like being called sluts
You: asshole
Stranger: Well what would you preffer then love?
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Stranger: What is your name love?
You: Laura, and yours?
Stranger: I'm Ryan and it's lovely to meet you, sorry we got off on the wrong foot sort of
You: its ok. Come on, lets go get a drink, I know a great place called "Pete's Finger"
Stranger: "Alright I figure I owe you one or two for all that" I wave dismissively as I offer you an arm
You: take your arm and we head to Pete's Finger
You: its a dive
You: smoky
You: working girls
You: drug deals in the back
You: booths with closing doors
Stranger: "I like it, it's got personality" I smirk as I look at you hungrily as I walk us up to the bar and waving the server over "What can I get you" I say not taking my eyes off your cleavage for more than a few seconds
You: I will have Alien Brain Hemmorage
You: with a tequila chaser
Stranger: "Get her two of those, and I'll have a beer and 2 shots of tequila" I say and pay before turning back to you "Apology Accepted? I ask as I glance at a working girl taking another customer into a both locking it with a giggle
You: of course sweetie
You: and dont worry I am not a working girl, i just like the ambiance here but i wont demand $500 at the end of hte night
Stranger: "Well now I have an extra 1000$ with nothing to do with it then" I grin cheekily as I put my hand on your leg
You: smile
Stranger: "So if your not a working girl, do I still have a shot" I bite my lower lip as I look to you hungrily
You: of course you do babe
You: light kiss on the lips
Stranger: "Good, I would have hated to have to take someone other than you into one of those booths" I peck your lips back and squeeze your leg as the bartender shows up with our drinks
You: I like your hands. returning kiss
Stranger: "I love your ass, it's what made me want you first" Ia dmit as I pass you your shots
You: thanks sweetie. Bottoms up!
You: tossing the drinks back
Stranger: "Hopefully your bottom especially" I grin as I take my two shots and wash it down with a beer before grabbing the back of your neck and pulling your lips to mine as I hungrily kiss you standing off the stool and between your legs
You: kissing you back
You: putting one hand on your ass
You: stroking your tight ass
Stranger: "No fair you're sitting down" I say breaking the kiss as I run my hand under your skirt and thumb at your clit before pushing my tongue into your mouth
You: kissing you back moving my hand to your crotch
You: running my hand through your pants over your cock
Stranger: "Are the booths mandatory" I purr into your ear as I bite and suck on your neck
You: "no honey bunny"
You: unzipping your fly
You: whisper if I suck you off will you get hard again and fuck me right away?
Stranger: "Honey, you'll still be swallowing my load as I'm pushing an even harder cock into you" I tease as I slip two fingers into you curling my fingers against yourr gspot
You: whisper I want you to cum in my mouth
You: kneeling
You: There does not seem to be much of a reaction from others in the bar, obviously this is not that unusual. But a few big fat bearded old bikers to stop to watch.
Stranger: I nod at the bikers as I pull my cock out rubbing it against your bright red lipstick as I look down at you "I can't wait to taste you before I fuck you" I say as I grab my pint and look down at you taking a sip as my cock drips precum onto your tits
Stranger: (Did you get my message?)
You: running my lips over your tip
You: kissing it
You: kissing your balls
You: looking up at you
You: "Love how your cock tastes"
You: licking your cock like a lollypop
You: stroking ur balls
Stranger: "It tastes better with a mouthful of cum" I grin as i shudder with pleasure as you kiss my balls
You: running lips over your cock back and forth, moving a bit further each time
Stranger: "Fuck you're fantastic compared to my fiance" I grin looking down to gaguge your reaction
You: stroking ur balls
You: stroking that patch of skin between ur balls and butthole
You: taking almost all of your cock in
Stranger: I bite my lower lip "You're just a dirty little tease arn't you" I say as I gulp at my beer before gasping into it as you deepthroat me "Holy fuck baby" I say as my cock pulses and throbs in your throat
You: running my lips over the entire length back and forth
You: looking up at you
You: "You will kiss me after you cum in my mouth right babe?"
Stranger: "Baby if you can make me cum before I finish another beer I'll fucking make out with you" I grin as I order another beer and sip at my first one
You: looking up at you
You: in little girl voice - please cum in my mouth daddy
You: running my lips over your cock
You: taking it all in
You: massaging your balls
Stranger: Oh fuck that's so hot" I moan loudly as I push my cock into you harder even though your kissing the bottom of my cock "Don't stop that ever and I'll fuck you harder than you can ever dream of"
You: reach around and finger ur butthole
You: running lips back and forth
Stranger: "Fuck you know what I love" I moan as I push back against your finger gently "Take your hot tits out baby"
You: undoing my top
You: "he likes it in the butt that is kind of gay" you hear one of the bikers comment
You: rubbing your cock with my tits
You: and then taking it in my mouth again
Stranger: "Yeah this is really gay right" I say moaning as you put your mouth on my cock "Just keep spending your time with your bros getting drunkw ith them you fat santa reject" I say as I reach down to twist one of your pierced nipples
You: using my tongue on the tip
Stranger: "Fucking suck my cock Laura" I growl out angrily as I start to slowly thrust into your mouth, taking a large gulp of my first beer
You: please daddy dont be angry at me
You: taking ur cock in
You: deepthroating as i finger ur butthole
Stranger: "Don't stop using your little girl voice, it's so hot" I moan as I finish off my first beer "Half way there, stand up so I can finger that tight goth pussy as you suck daddies cock"
You: i get up and get on top of the bar, my legs open, my mouth waiting
You: i want your cock daddy please daddy i want your cum in my mouth
Stranger: I reach out choking you as I kiss you making out enjoying the taste of cock and precum on your tongue as I aggresively rub your pussy and clit, slapping it a few times "Beg me, beg your daddy"
You: please daddy i want to taste your cum
You: please daddy
You: i will do anything ou want
Stranger: "Tell everyone who owns you, and your body" I say slapping your lips with my cock
You: you own me daddy
You: you own my mouth
You: you own my pussy
You: you own my ass
You: you own my tits daddy
Stranger: I grab you bending you over a bar stool and pull your skirt up slapping your ass 'And what are you " I say rubbing your face with my spit soaked cock
You: i am your little slut daddy
Stranger: I spit on your ass and slap it "Suck the cum out of my cock then little slut" I grin as everyone watchs you
You: sucking your cock, running my lips back and forth, spending more time iwth my lips on your cock head
Stranger: I groan and reach for my beer" Sloppy and loud is how I want it baby" I say chugging half my beer
You: moaning as i suck ur cock and rub my clit
You: focusing on your cock head
Stranger: I reach down and slap your ass before fingering you in tandem as you rub your clit "Talk dirty to me in that little girl voice and tit fuck me baby, I'm gonna nut soon"
You: rubbing my breasts with your cock between them
You: daddy i love how your cock tastes
You: i love being your whore daddy
Stranger: I groan and pull my cock from your tits spitting on your face and rubbing it around with my cock "God you are perfect" I say before forcing my cock into your mouth fucking it eagerly as you taste precum ooze onto your tongue and throat
You: mmmmmmm
You: running my lips over your cock
You: swallowing all of oyur cum
You: looking up at you
Stranger: "Fucking take my cum you goth slut" I groan as I push myself into your mouth and stroke the base errupting a huge torrent into cum hungry mouth
You: swallowing ur cum
You: "Thank you daddy"
You: getting up and puting my arms around you
You: "you take such good care of me daddy"
You: kiss
You: applause from the bikers
You: you realize a bunch of them are filming this with their smartphones
Stranger: I grab your tits and jiggle them "Who says I'm done baby" I kiss you back making out with you as my cock presses against your legs
You: please fuck me daddy
Stranger: "Beg me, beg me to fuck you in one of those whore booths, like your a cheap prostitute" I say kissing your tits and sucking on your pierced nipples
You: please daddy i want everyone to watch as you fuck your whore little girl
You: please daddy
You: please
You: you can fuck me in the ass if you want
Stranger: "You want me to fuck your fat ass you buttslut" I say spanking you hard
You: leaning up to whisper in your ear there is lube in my purse daddy
Stranger: "Then lube up my cock and ask everyone who's watching if it's gonna go in your big fat ass" I purr as I stick a finger in your ass
You: pulling out lube and lubing up your cock slowly, adding kisses to it, getting it haard
You: turning to the bikers
You: "Daddy is going to fuck me in the ass"
You: putting a big glob of lube in my butthole as well
You: "My daddy is wonderful"
Stranger: "Get on your knees and face to this cum stained floor" I order "And spread your ass for me you kinky slut" I say kissing you lovingly
You: thank you daddy
You: getting down on the floor with my ass in the air
You: please fuck my whore ass daddy
Stranger: "Lick the cum off the floor you slut" I say gripping your hair pushing your face to the sticky ground as I slowly push into your ass to the loud cheers of the bikers
You: no please daddy don't make me do that
You: the floor is dirty
You: your cock feels so good in my ass daddy
You: pushing against ur cock
You: moaning
You: oh daddy oh god this feels so good
Stranger: "Then how will you get your fix of cum baby" I say angrily pounding your ass "My little whore needs her addiction fed" I slap your ass as I pound deep into you
You: please daddy not off the floor please dont be mean daddy
You: reaching down to play with my clit as you fuck my ass
You: oooohhh daddy daddy ooooo
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