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Japanese Porn Prodigy

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Sexually Inexperienced And Terrified

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A library is a collection of sources of information and similar resources, made accessible to a defined community for reference or borrowing. It provides physical or digital access to material, and may be a physical building or room, or a virtual space, or both. A library's collection can include books, periodicals, newspapers, manuscripts, films, maps, prints, documents, micro...
A library is a collection of sources of information and similar resources, made accessible to a defined community for reference or borrowing. It provides physical or digital access to material, and may be a physical building or room, or a virtual space, or both. A library's collection can include books, periodicals, newspapers, manuscripts, films, maps, prints, documents, microform, CDs, cassettes, videotapes, DVDs, Blu-ray Discs, e-books, audiobooks, databases, and other formats. Libraries range in size from a few shelves of books to several million items. In Latin and Greek, the idea of bookcase is represented by Bibliotheca and Bibliothēkē (Greek: βιβλιοθήκη): derivatives of these mean library in many modern languages, e.g. French bibliothèque.The first libraries consisted of archives of the earliest form of writing—the clay tablets in cuneiform script discovered in Sumer, some dating back to 2600 BC. Private or personal libraries made up of written books appeared in classical Greece in the 5th century BC. In the 6th century, at the very close of the Classical period, the great libraries of the Mediterranean world remained those of Constantinople and Alexandria.A library is organized for use and maintained by a public body, an institution, a corporation, or a private individual. Public and institutional collections and services may be intended for use by people who choose not to—or cannot afford to—purchase an extensive collection themselves, who need material no individual can reasonably be expected to have, or who require professional assistance with their research. In addition to providing materials, libraries also provide the services of librarians who are experts at finding and organizing information and at interpreting information needs. Libraries often provide quiet areas for studying, and they also often offer common areas to facilitate group study and collaboration. Libraries often provide public facilities for access to their electronic resources and the Internet. Modern libraries are increasingly being redefined as places to get unrestricted access to information in many formats and from many sources. They are extending services beyond the physical walls of a building, by providing material accessible by electronic means, and by providing the assistance of librarians in navigating and analyzing very large amounts of information with a variety of digital tools....

HouseOfCane

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This is a slave House -- the largest private dungeon in North America with indoor and outdoor training facilities. This gallery includes images of the slaves that have served and the dungeon itself.

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@soapbox
19 Dec 2012 12:53PM
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All of you better wake up and look at the big picture. The government is preparing to deal with a civil uprising that they think is going to happen. They have constructed holding facilities and are aiming to disarm the American people through propaganda and sensationalism in the media to get the moralfags scared of guns. Military people already are saying the next invasion is going to be against the people if the country.

This is not tin-foil hat shit, this is what you will eventually see. Don't be a moron.

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@confessions
12 Nov 2020 11:25PM
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I have a fantasy that the government would build a prison that is used to incarcerate only inmates that are either gay or open to participating in male to male sex acts. All staff at the facility would be male and same sex sexually oriented. Imagine how fun it would be. Mmmm.

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csml
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@random
05 May 2014 2:07PM
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Un texte parmi ceux publiés sur : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/

16 heures pile ; Élodie entra dans le vieil immeuble, le cœur serré. Il ne fallait pas qu’elle se rate ; ces saletés d’intraveineuses lui portaient peine, et justement ce nouveau patient en attendait une. Elle en tremblait presque ; elle finissait ses études d’infirmière et, à presque 21 ans, espérait décrocher son diplôme.

Depuis trois jours, elle était en stage dans un centre de soins, son dernier stage, primordial, de fin d’études. Les jours précédents s’étaient mal passés ; elle avait travaillé en doublon dans le centre avec une vieille infirmière hargneuse, elle était trop anxieuse, l’ambiance était mauvaise, en plus. Alors elle rentrait chez elle et pleurait sur l’épaule de son mari. Éric n’avait pas de travail ; il déprimait car il ne trouvait rien (serveur en restaurant), sauf de petits boulots au noir ; et il devait consoler sa jeune femme quand elle craquait.

Étant stagiaire, elle n’avait pas le droit de pratiquer seule, pas encore. L’infirmière qu’elle devait seconder s’était blessée ce matin, et sa responsable – une pète-sec qui l’avait dans le collimateur depuis son arrivée – lui avait dit de faire la visite seule et de ne pas faire de vagues. C’était la première fois qu’elle sortait du centre et travaillait seule, alors c’était l’angoisse.

Pas facile, quand on est en stage de probation, de rester calme, polie, de réussir tous les actes médicaux prescrits. Elle tremblait un peu en sonnant à la porte, sa sacoche à la main. Un homme a ouvert, l’air revêche. Elle a reculé en le voyant : un visage patibulaire sur un corps imposant qui emplissait tout le cadre de la porte.

— Bonjour, je suis l’infirmière, je viens pour la première injection.

— Ouais ! Putain, ils envoient des gamines maintenant ! Enfin, entre, petite.

— Merci, Monsieur.

L’appartement sentait le renfermé alors qu’on était fin mai et qu’il faisait un temps superbe. Il l’a conduite dans un séjour miteux, encombré de linge sale, d’assiettes, verres, cartons à pizza, cannettes et bouteilles de bière. Un taudis, ou pas loin. Il s’est assis en soupirant dans un vieux fauteuil, le seul à n’être pas encombré. Elodie a fait un peu de place sur la table pour préparer la seringue puis s’est tournée vers lui. Il avait autour de 50 ans sûrement, sale, négligé ; il portait un marcel blanc à trous d’une propreté douteuse sur un bermuda à fleurs, d’où dépassaient ses membres épais et couverts d’une épaisse forêt de poils noirs. Un gorille.

Fébrilement, elle a désinfecté, posé un garrot en caoutchouc, et cherché une veine. Pas évident, même après avoir allumé le lustre. La fébrilité la gagnait ; il ne fallait pas qu’elle se loupe : la pète-sec n’attendait que ça pour la virer et soigner son rapport, ce qui serait désastreux pour l’obtention du diplôme. En désespoir de cause, elle examina le poignet et le dos de la main : trop velu ! Elle se résigna à piquer au pli du coude, et évidemment traversa la veine, provoquant un hématome. De plus en plus gros quand elle retira l’aiguille et enleva le garrot.

— Pardon, Monsieur, je l’ai ratée ; je vais la faire au bras droit.

— Et voilà, on envoie des gamines faire les piqûres, elles sont pas foutues de faire leur boulot ! Je vais appeler ton service et me plaindre.

— Je vous en prie, ne faites pas ça, ils vont me saquer. C’était pas facile à faire, avec tous ces poils…

— Dis que c’est ma faute, en plus ! Te gêne pas surtout ! Tu vas comprendre, je vais t’assaisonner !

Élodie pleurnichait, sa seringue à la main. La cata ! C’était un stage qui avait mal commencé, et maintenant…

— S’il vous plaît, laissez-moi vous faire la piqûre, je ferai attention, je vous promets.

— Moi, je vais faire des photos de mon bras et obtenir une incapacité de travail ; ensuite, je l’enverrai à ton patron.

En pleurnichant, elle a tant bien que mal réussi l’injection, puis a remballé son matériel, décomposée, prête à craquer. En plus, elle sentait que le regard de l’homme avait changé : il la reluquait d’un œil obscène. Quand elle s’est tournée vers lui pour lui dire au revoir, elle a vu que ses yeux quittaient ses fesses pour se fixer sur sa poitrine qui gonflait son chemisier blanc. Malgré tout, elle a tendu sa main, pour l’amadouer, en tentant un pauvre sourire. Il l’a saisie dans sa grande patte velue, les yeux rivés sur sa poitrine, ne paraissant pas vouloir la lâcher.

— Tu reviens demain à la même heure ; je veux que ce soit toi qui me suives à partir de maintenant. Et arrange-toi pour réussir tes piqûres. Mon dossier de plainte sera prêt à être envoyé, je te le montrerai. Après, je veux que tu fasses le ménage chez moi, sinon il part. Fous le camp.

Elle est partie en pleurant ; le quart d’heure de trajet en voiture jusque chez elle ne l’a pas calmée. Éric, son mari, l’a reçue dans ses bras où elle a sangloté de plus belle. D’une voix cassée, elle lui a raconté ses déboires et la proposition de son patient.

— Il veut que tu fasses son ménage ? C’est tout ? Ce n’est pas cher payé s’il abandonne son idée, tu sais. Je peux aller lui parler pour qu’il comprenne qu’on est déjà dans la panade. Il te paiera, en plus, si tu travailles chez lui.

— Tu verrais comment il est, Éric, il est sale, répugnant, et il est vieux !

— Ma chérie, calme-toi, il ne va pas te violer, quand même.

— C’est pas ça, mais il me regardait d’un œil si vicieux, j’ai eu honte. J’étais en jupe et chemisier, il me déshabillait du regard, le gros porc.

— Il a quel âge, cet homme ?

— Je ne sais pas, ce n’est pas sur mon dossier ici, mais 50 ans, à peu près…

— Ma chérie, toi qui m’as dit que tu fantasmais sur les vieux…

— Ce n’est pas le moment de plaisanter avec ça, tu sais !

— Tu as une petite culotte ? Montre ça…

— Non ! Fiche-moi la paix, bon sang ! Je suis complètement sur les rotules à cause de notre situation, et toi, tout ce que tu trouves à faire…

— Oui, en effet ! Tu as l’occasion de réaliser ton fantasme de faire l’amour avec un homme plus âgé, en même temps que tu l’empêches de te nuire, alors réfléchis un peu.

— Tu crois ce que tu dis ? C’est du chantage, et tu veux faire de moi une pute !

— C’est ce que je dis en effet, tes fantasmes de prostitution et de l’homme âgé, tu les as depuis longtemps, on en a parlé souvent. Et puis tu exagères, tu n’as pas à te prostituer, seulement à faire le ménage, en petite tenue sûrement.

— Je ne sais plus, tu crois qu’on est coincés ? J’ai complètement raté l’intraveineuse, je vais être virée.

— Non, chérie, on peut pas se le permettre… Tu es mouillée, dis donc !

— Arrête, Éric, c’est tes histoires. Je t’ai juré fidélité, on est mariés depuis un an. Et puis tu verrais ce type, il est répugnant, velu comme un singe… Oh ! Arrête !

Il avait soulevé la jupe et, les deux mains dans sa petite culotte, il pétrissait ses jolies fesses ; son corps réagissait, elle réalisait qu’elle mouillait abondamment. Dans la chambre, il lui enleva juste sa culotte à l’entrejambe poisseuse et la pénétra dès qu’il eut sorti sa verge de son pantalon baissé sur ses cuisses. Il était si excité qu’il s’est vidé très vite, trop vite, laissant Élodie sur sa faim. La nuit, elle eut du mal à trouver le sommeil, repensant à sa journée pourrie, à ce qu’avait dit son mari. C’était horrible : il acceptait qu’elle se donne à un inconnu ; en plus il était répugnant, cet homme.

Vieux, velu, sale. Tout du gros dégueulasse ! Elle avait glissé une main sous sa chemise de nuit, et posé la main sur son pubis, caressant les fins poils soyeux qui le recouvraient, constatant avec surprise qu’elle était toute mouillée. Elle pensa à cet homme ; il était énorme, un gorille, elle si menue, blondinette, à côté de lui, dans ses bras, sous lui qui la pénétrait… Elle secoua la tête. « Rêver de ça, faut que tu sois en manque, ma pauvre fille. »

Il faut dire que son mariage avec Éric n’avait pas tenu toutes ses promesses. Déjà elle s’était plus ou moins fâchée avec ses parents qui ne l’aimaient pas, Éric avait perdu son travail depuis trois mois et ne trouvait pas, mais Élodie avait bien vu qu’il avait refusé des postes ; il lui faisait l’amour moins souvent, fantasmant plus qu’il n’agissait.

Éric était plutôt fluet, pas très grand ni très gros, 1,69 m et 62 kg, brun aux yeux marrons, le corps lisse quasiment sans poil, un peu efféminé. Ce qui avait plu à Élodie, c’était sa douceur, son calme. Avant de se rendre compte que c’était en fait de la mollesse, un manque de caractère. Alors qu’elle avait été attirée, dans son adolescence, par les hommes mûrs et virils.

Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. Quand elle faisait son footing, presque tous les matins, en petit short et brassière assortie, les hommes la suivaient des yeux avec convoitise.

Et voilà où elle en était, frustrée, insatisfaite dans sa vie amoureuse, stressée et malmenée dans sa vie professionnelle. Comment allait-elle pouvoir se sortir de ce mauvais pas avec son patient ? La politique de l’autruche semblait la pire des solutions. Elle s’endormit enfin pour une courte nuit de sommeil.

Sa journée se passa comme dans le brouillard, elle était insensible aux piques des collègues comme aux remarques désobligeantes de la responsable. Juste avant de partir chez le patient, à 15 h 30, elle alla se rafraîchir le visage dans les toilettes, et s’examina dans le grand miroir sur la porte.

Ce matin, elle avait mis une petite jupe brun sombre de coupe droite qui laissait voir ses genoux, un chemisier crème, portés sur un tanga blanc à dentelle et un soutien-gorge assorti, et elle avait choisi des escarpins à talons hauts de 7 cm, à peine confortables mais d’une couleur crème assortie au chemisier.

C’est le visage empourpré qu’elle sonna à la porte, qui s’ouvrit immédiatement ; il devait l’avoir vue arriver.

— C’est bien, tu es à l’heure. Sinon j’aurais dû te punir. Entre.

— Bonjour, Monsieur. Pour le courrier, vous avez réfléchi ? Je vous en prie.

— J’ai même un certificat médical : mon médecin m’a affirmé que tu seras radiée de l’ordre des infirmières ; en tout cas, ta carrière sera finie avant de commencer.

— Ne faites pas ça, s’il vous plaît, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous le promets…

— Tu as dit « tout » ? Tu m’intéresses, là. Et tu me fais la promesse ?

— Oui, je vous promets de faire tout ce que vous voulez. Je ne peux pas finir mes études comme ça, ce n’est pas possible !

— Et tu feras tout pendant combien de temps ?

— Euh… Ce soir ?

— Non, ce n’est pas suffisant. J’ai des soins sur 10 jours, donc jusqu’à leur fin ; c’est à prendre ou à laisser.

— Bon, d’accord, je n’ai pas le choix.

— Bon ; pour commencer, tu vas me faire la piqûre en sous-vêtements.

Élodie a baissé la tête sans répondre, sachant qu’elle était coincée. Elle déboutonna lentement son chemisier et le posa sur un dossier de chaise, dégrafa le côté de sa jupe qu’elle enjamba et plaça sur le chemisier. Les joues rouges, elle s’affaira pour préparer l’injection, évitant le regard goguenard de l’homme. Dans cette situation éprouvante pour ses nerfs, elle réussit la piqûre à la perfection. Pour la féliciter, il lui empoigna les fesses à deux mains en baissant sa culotte, et la tira contre lui, lui léchant le torse d’une langue baveuse.

— Tu préfèrerais pas l’avoir dans ta chatte, ma grosse langue ? Viens avec moi, ma petite salope.

Il la fit entrer dans une chambre où régnait un désordre indescriptible : lit défait, vêtements entassés, sales ou non, verres, cannettes, bouteilles.

— Allez, enlève ta culotte, puis sur le lit ; et écarte les cuisses pour bibi… Putain, une vraie blonde avec une petite touffe ! Demain, je veux que tu sois épilée ; plus un seul poil sur la motte, tu entends ?

— Mais, je ne… Et mon mari, comment je vais lui expliquer ?

— Je m’en fous : t’auras qu’à lui dire que c’est pour lui que tu l’as fait. Putain, tu es mouillée, grosse salope, t’as envie que je te lèche la chatte ! J’y crois pas.

Il avait plongé en avant et sa langue épaisse a commencé à glisser sur la fente rose et humide ; Élodie a soupiré, son corps en manque tremblait et se tendait, et ce fut pire quand il aspira dans sa bouche les lèvres intimes dans un bruit obscène. Elle poussa un cri en jouissant, surprise par le trop-plein d’émotions dû à son état de manque. Il se releva, satisfait, et exhiba une verge épaisse, noueuse et sentant mauvais, un mélange de sperme, sueur et urine ; il la guida entre les lèvres intimes trempées et poussa, s’enfonçant facilement malgré son diamètre.

Élodie ne songea même pas à s’y opposer. Submergée par ses émotions, elle noua ses jambes fines autour du torse de son amant, réalisant qu’elle ne se rappelait même plus de son nom ni de son prénom. Elle serra les dents quand l’homme commença à se retirer pour plonger dans son vagin peu habitué à un pareil engin. Le gros ventre l’écrasait sur le lit défait ; il devait peser le double de son mari, et sa verge, ma foi, était bien raide, épaisse et longue.

Il souleva son soutien-gorge pour empoigner ses seins, les tordant et faisant saillir les mamelons turgescents, tout en la prenant de plus en plus fort ; elle entendit un gémissement continu avant de réaliser qu’il sortait de sa gorge, et lorsqu’il se planta profondément pour éjaculer, elle jouit à nouveau.

Quand elle reprit ses esprits, quelques secondes plus tard, il pesait sur elle, sa verge toujours aussi raide profondément plantée dans son vagin. Elle plissa le nez une nouvelle fois à cause de son odeur et tenta de le repousser sur le côté.

— Alors, petite puce, le gros Franck t’a fait grimper aux rideaux ? Tu as aimé, ma salope : tu couinais comme une truie quand je te ramonais. Allez, je te laisse ; on remettra le couvert dans un moment. Va travailler un peu !

Élodie put enfin se lever ; elle constata que son vagin dégorgeait son trop-plein de sperme sur le drap sale. C’est toute nue qu’elle fit le ménage ; en premier, elle remplit trois grands sacs poubelle avec tous les déchets qui jonchaient le séjour et la cuisine. Elle dut les sortir sur le palier avant de lancer une lessive de vêtements et sous-vêtements souillés, puis vaisselle. Elle travailla trois heures sans relâche sous le regard concupiscent de Franck, assis nu dans un fauteuil, qui lui mettait la main aux fesses, voire plongeait des doigts dans son vagin.

À sa honte, elle n’était pas insensible à ses attouchements ; ses mamelons étaient durs et tendus, et quand il se leva, la verge gonflée, violacée, couverte de semence séchée, elle s’approcha de lui, tête baissée. Il la toisa en ricanant, se masturba en caressant ses grosses couilles velues.

— Alors, petite chienne, tu as envie de te faire baiser ? On dirait que tu n’attends que ça. Avec ta gueule de sainte-nitouche, tu trompes bien ton monde. Si tu veux ma bite, tu n’as que le demander.

— S’il vous plaît…

— Quoi ? Tu la veux, ma grosse bite ? Dis-le, merde !

— Oui, prenez-moi, je vous en prie…

— Caresse ta moule, fourre des doigts dans ta chatte, salope, écarte bien… Voilà, c’est bien, tu n’es qu’une chienne en chaleur.

Il la poussa contre le fauteuil et la pénétra aussitôt jusqu’à la garde ; elle était trempée et brûlante. Franck la besognait méthodiquement ; sa grosse bite trapue remplissait bien le vagin serré d’Élodie qui haletait, les mains crispées sur les accoudoirs, projetée en avant à chaque poussée. Elle jouit alors qu’il grognait et accélérait la cadence ; elle le sentit se vider en elle, remplissant sa matrice de semence épaisse.

— Allez, à genoux, nettoie ma bite, salope, vite !

— Pas ça, s’il vous plaît, c’est sale.

— Tu veux ma main dans la gueule ? C’est ta mouille et mon sperme, tu va tout bien nettoyer avec ta langue ! À genoux ! Bien, tu vois, tu t’y mets…

Surmontant son dégoût, Élodie a commencé à passer sa langue sur la verge gluante, songeant qu’elle avait toujours refusé ça à son mari. Malgré l’odeur d’urine et de négligé, elle finit par gober le gland et aspirer le sexe flasque et le nettoyer soigneusement. Gauche, elle se releva et regarda Franck, incertaine sur la conduite à tenir.

— Je voudrais me doucher, maintenant.

— Tu feras ça chez toi. Il est quelle heure ? 20 heures 10 ? Allez, fous le camp ; pas la peine de mettre de culotte demain, ni de soutif d’ailleurs.

— D’accord.

Il lui donna une petite gifle sèche. Pas très douloureuse, mais humiliante.

— Tu m’appelleras « Monsieur ». Compris ?

— Oui, Monsieur.

— Fous le camp. Et demain, sois à l’heure.

Élodie est rentrée chez elle au radar ; son mari lui a ouvert la porte et l’a examinée de la tête aux pieds. Consciente d’être sale, couverte de sueur, les cuisses poisseuses de semence, elle le poussa pour se précipiter dans la salle d’eau où elle s’enferma. La douche lui remit les idées en place en même temps qu’elle nettoya son corps. Quand elle sortit, enveloppée dans une grande serviette de bain, Éric l’attendait ; elle refusa d’aller se blottir dans ses bras et ils restèrent debout l’un en face de l’autre, comme des étrangers.

— Élodie, ça va ? J’étais inquiet ; ça s’est bien passé ?

— À ton avis ?

— Il t’a violée ? C’est ça ? Il faut porter plainte…

— Tais-toi ! Non, il ne m’a pas violée. Il m’a baisée, deux fois, et je l’ai laissé faire.

Éric la regardait d’un air apitoyé, et en même temps il bandait, de penser que sa jolie femme s’était fait prendre par un étranger. Il s’approcha d’elle tendrement et elle le laissa poser ses mains sur ses épaules et les masser.

— Tu as faim ? J’ai fait une quiche lorraine, avec de la salade…

— D’accord.

— Après, je te ferai un massage pour te déstresser, tes muscles sont tendus.

— Et puis il faut que je sois épilée entièrement.

— Entièrement ? Bon.

Élodie alla manger, songeuse. Elle savait que sa vie de couple avait pris un tournant irréversible. Éric n’était plus son partenaire sexuel unique ; il ne la satisfaisait pas, alors que Franck, cet homme grossier et sale, l’avait fait jouir plusieurs fois. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, d’ailleurs ; il l’avait menacée, giflée, et malgré tout elle avait réagi à ses attouchements, s’était offerte sans pudeur ; il l’avait pénétrée avec son gros sexe, l’écrasant de sa masse, l’avait besognée rudement. En y repensant, Élodie était troublée, son ventre était tout chose.

Après le repas, Éric l’a conduite sur la table de massage qu’ils avaient achetée d’occasion un an plus tôt. Sans rien dire, Élodie dénoua sa serviette et l’étendit sur la table avant de s’allonger sur le ventre, les bras le long du corps. Éric commença à verser un peu d’huile camphrée sur son dos ; il aimait la masser, mais cela arrivait trop rarement à son goût. Il commença par le haut et les épaules pour finir par les mollets et la plante des pieds, puis demanda à Élodie de passer sur le dos. Il vit tout de suite que ses bouts de seins roses étaient gonflés et durs.

Il attaqua cette fois par le bas, et s’arrêta à hauteur du pubis, couvert d’une fine toison blonde et bouclée.

— Je vais chercher l’épilateur électrique ? C’est le plus pratique pour ce que tu veux.

— D’accord, mais va doucement : c’est un peu douloureux.

Éric acquiesça, tout excité ; il épila donc soigneusement la vulve, jusqu’au périnée et entre les fesses, avant de faire les aisselles. Quand Élodie se souleva, elle examina son pubis bombé et complètement lisse, un peu rouge. Éric massa ensuite le pubis irrité, mais Élodie le repoussa quand il tenta des caresses trop poussées.

— Arrête, je suis fatiguée. Je vais me coucher.

— D’accord, ma chérie, je comprends, ne t’inquiète pas.

Élodie, épuisée, s’endormit très vite alors qu’Éric tournait dans le lit, obsédé par des images de sa femme faisant l’amour avec un autre homme, jouissant sous ses assauts. Il se masturba dans le noir sans parvenir à éjaculer. Le lendemain matin, Élodie partit sans faire de bruit car son mari dormait encore. A 16 heures, elle était chez Franck, qui lui ouvrit, pas rasé, sale et empestant la bière, vêtu en tout et pour tout d’un caleçon froissé.

— Bonjour, Monsieur.

— Entre, petite salope. Et enlève ta robe. Bien, tu m’as obéi, tu n’a rien dessous, comme une bonne petite pute. Et tu es épilée. Tu fais encore plus pute comme ça.

— Vous n’aimez pas ?

— Si, tu auras ton jus de couilles, ne t’en fais pas.

Élodie réussit à peu près sa piqûre, puis Franck la fit agenouiller devant lui. Il extirpa sa verge noueuse et se fit sucer ; comme Élodie n’était pas habituée à cette pratique, il lui donna des indications en l’insultant.

— Pauvre connasse, pas foutue de sucer ! Allez, avale, et pompe vraiment, nom de Dieu ! Je sens rien, remue ta langue ; une pute de chantier est plus douée que toi ! Allez, encore, force un peu, ça va passer. Et dégueule pas sinon je te le fais lécher. Lève-toi maintenant, je vais te baiser la chatte, ma salope ; tu as intérêt à remuer le cul.

Il la prit contre le fauteuil, elle était trempée ; voyant ça, il claqua ses fesses jusqu’à les voir rougir, puis il la tira contre lui et la souleva, bien plantée sur son mandrin, et se laissa retomber sur le fauteuil. Et il la fit monter et descendre ; Élodie gémissait, les yeux clos. La verge épaisse remplissait son vagin alors que Franck avait empoigné ses deux seins et les pétrissait, pinçant les bouts jusqu’à la faire pousser un petit cri. Ce fut cela qui la fit jouir soudain, tremblant de tous ses membres, et s’écroulant sur Franck.

Lequel se leva, la tenant toujours empalée à fond, pour aller à pas lourds dans la chambre et la poser à genoux devant le lit. La tête sur une couverture sale, elle ne bougea pas, se cambrant même pour qu’il puisse s’enfoncer mieux ; il la pilonna plusieurs minutes, ruisselant de sueur sur elle, avant de se vider en épaisses saccades qui la firent jouir à nouveau. Lorsqu’il la libéra, elle s’agenouilla d’elle-même et nettoya la verge gluante d’une langue agile.

— Je peux faire le ménage, Monsieur ?

— Oui, mais demain je te mettrai un collier de chienne, pour que tu te rappelles ce que tu es. Et ce soir, tu bosses ici jusqu’à 9 heures.

Élodie se nettoya l’entrejambe avec une grosse éponge avant d’attaquer par la cuisine, qu’elle nettoya à fond, rangeant toute la vaisselle propre avant de s’occuper de la chambre de Franck, où elle remplit deux sacs poubelle de déchets, faisant une lessive des draps, puis de vêtements. Elle nettoya entrée, couloir et séjour à un rythme soutenu, s’habituant à travailler nue sous les yeux de son employeur.

Mais elle avait à peine refait le lit qu’il la culbuta dessus et la prit sauvagement en levrette, se retirant régulièrement pour se faire sucer avant de revenir la pilonner de toutes ses forces. Quand il a senti qu’il allait éjaculer, il a fait mettre Élodie à genoux devant lui et a joui dans sa bouche ouverte, l’obligeant à avaler avant de lécher sa hampe dressée. Il la tira alors derrière lui pour la pousser sur le palier, nue et le visage maculé de sperme. Avant de lui jeter sa robe et sa mallette de soins.

— Demain, tu te mets à poil ici avant de sonner.

— D’accord ; à demain, Monsieur.

— Et demain, je t’enculerai ; tu es pucelle du cul, je parie.

— Oh non, pas ça, s’il vous plaît !

— Ta gueule ! À demain ; t’auras qu’à te lubrifier avant de venir !

Élodie rentra chez elle, fourbue et sale ; elle bouscula presque Éric pour se ruer sous la douche ; la soirée passa dans le brouillard, elle refusa de discuter avec son mari, refusa qu’il la touche et se tourna dans son coin pour dormir. Elle pensa longtemps à ce qui l’attendait le lendemain, en rêva aussi car elle se réveilla avec le minou tout humide. Elle passa sa journée en mode automatique, consciente de sa non-implication, d’exécuter les tâches confiées sans y mettre de cœur.

Arrivée sur le palier de l’appartement, elle se déshabilla rapidement et sonna, tête baissée. Il n’ouvrit pas tout de suite, la faisant patienter plusieurs minutes, angoissée à l’idée de voir passer un voisin. Il ouvrit enfin, toujours aussi sale ; il était torse nu, velu comme un singe, portant juste un slip autrefois blanc. Il la fit entrer sans un mot, lui laissa faire sa piqûre avant de lui donner une bonne gifle. Elle recula, les larmes aux yeux, ne comprenant pas.

— Pardon, Monsieur. Je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

— Ta gueule. Tu as le cul propre ? Tu es lubrifiée ?

— Oui, un peu…

— Alors je vais t’enculer pour t’apprendre à réussir tes piqûres ; va sur le lit, à genoux, le cul vers la porte, écarte tes fesses que je puisse viser, penche-toi, la tête sur le lit…

Mortifiée, Élodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt ; elle se crispa et il donna une bonne claque avec son autre main.

— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !

Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Élodie, consciente de la posture obscène qu’elle avait. Un froid dans ses reins : il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.

— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toute manière… Là !

— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !

— C’est rentré, alors ta gueule !

Élodie serrait les dents ; les larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes ; il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles larmes à Élodie, qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses 50 kilos avaient disparu sous les 115 kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.

À sa surprise, elle sentait son bassin qui se tendait pour aller au devant de la queue bien raide ; elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge. Elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Élodie de sueur.

— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…

Élodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement. Elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.

— Tu as intérêt à faire ça bien ; ils sont pas marrants, mes deux salopards : ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.

— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…

— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur serviras de vide-couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.

Élodie baissa la tête, matée. Plus que huit jours à obéir. Il lui fallait tenir, échapper à cet homme répugnant et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins ; elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas la parole à son mari ; elle se doucha, mangea et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre ; elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un homme nu. Un des fils, bien sûr, se rappela Élodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Élodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle-même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.

— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…

Évidemment, les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Élodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait un cri de gorge à chaque fois mais ne protestait plus ; elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles violentes en aller-retour.

Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Élodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux fortes gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada. Elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.

— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !

— Oui, j’aime ça…

— Tu as envie que je revienne ?

— Oui…

— Alors, demande, petite pute, demande-moi !

— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.

Il l’embrocha d’une poussée ; son vagin était trempé et brûlant, et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt. Toute honte bue, Élodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Élodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Élodie d’un air goguenard.

— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?

— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.

Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.

— Viens, salope ; suce-moi bien avant que je t’encule ; Tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !

— Oui Monsieur.

Élodie, à genoux entre les cuisses épaisses, commença à administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.

Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. Elle tourna la tête vers eux et n’en crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes ; mais ce qui la choqua, c’était les ceintures de cuir qu’ils tenaient bien serrées dans leur main droite.

— S’il vous plaît, je ferai ce que vous voulez ; ne me battez pas, je vous en prie…

— On va attendrir ton petit cul, c’est ça qu’on veut. Alors tu mords le drap et tu la fermes ; va pas rameuter les voisins !

— Sinon, on te prend dans un bois, et là on te cogne jusqu’à ce que tu sois complètement pelée du cul. C’est ça que tu veux ?

— Non, s’il vous plaît, pas ça… Je vais essayer…

Domptée, Élodie baissa la tête et mordit dans le drap qu’elle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit ; au dixième, elle sanglota ; au vingtième, elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient durement marquées, couvertes de stries entre le rouge et le brun. Le sang ne coulait pas, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles, guettant la montée du plaisir chez Élodie.

À un moment, ses sanglots et sa souffrance s’étaient changés en plaintes puis en gémissements de plaisir qu’elle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien n’y faisait : son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Ils jouèrent longtemps avec elle, la faisant jouir quand ils le décidaient, rien qu’en la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière. Elle s’agenouilla devant lui, nue et souillée.

— Monsieur, j’ai compris ce que je suis. Je vous supplie de m’accepter chez vous et de me garder ; je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

— Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

— Oui.

— Et celle de qui je voudrai ?

— Oui.

— Je savais que tu n’étais qu’une petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexys ; le reste, tu laisses. Et tu reviens ici ; tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul. À ton retour, je m’occuperai de tes gros seins : tu vas déguster.

Auteure : Petite Julie

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06 Aug 2017 1:23AM
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I need to share this because i can't think straight anymore. I confess, i am not a proper single mommy with only her kid on her mind. I've been lusting for 2 weeks now. Finally, after a long while of being celibate i found someone i want to explode with. I waited this long because i wanted it to be very special. I tried my best to stay strong but i can not anymore, i need human interaction. I will rape if i can't have what i want. I don't just want to be fucked, i want to fuck someone so bad they will faint. I want to faint too. I want damn violent nasty sex in all holes. Last guy fainted, but he turned a creepy guy after that wouldn't leave me alone. And the prick he begged for mercy, don't do that, fight me! It killed my libido. I hate desperate men.
But this time it will be better. I met this shy guy online and we haven't met in rl yet, but i know it'll be so good. Last few days have been hell, my pussy keeps leaking so bad i have to wear thick pantyliners, it's embarrassing. I can't wait to finally have a cock inside me again. I am aching for it so bad it actually hurts. I tried to pacify myself with toys, but it's just not good enough, i want a warm throbbing sword to cure my itch. I need it. I want to hold a hairy ass and thrust it into my loins. This guy told me he's in a mental facility, it turns me on even more, i hope he's a complete freakshow. I know that's bad, but i can't help it. I asked him to tell me more about himself, i fingered myself as i saw his texts trying to conceal he is a freak too. He will be in for a suprise alright. This tormenting arousal has turned me savage. I want him to strangle me, hurt me, rape my ass and have me suck wherever he pleases. I want to climb him like a mountain and grasp for air. I will ride him slowly, tease him with my tongue untill he bursts into insanity too and ravishes me like an animal. Oh god i want beastly sex. He's hot, seriously the man of my dreams. A little bit chubby with a belly button i would fuck if i had a penis, stubbled face nearly a beard, dark bodyhair, not tanned just natural, works on a farm, likes to get his hands dirty, he poses with a sigarette dangling from his lips... Just a good old fashioned manly man. I've never been that into anal but my rectum feels like prolapsing from wanting him inside me now. I hope he has dangling balls to choke me with. I want him to grab my hair and push my face in his furry groin. It will be 10 more days before we finally meet, he wants to know me better first... I'm playing along, acting coy, but damn he better not be hesitating too long or i will take my twitchy wet squishy cunt elsewhere. What is with men these days? Acting all timid when a girl gets straight to the point. I'm even traveling across the country to be fucked by him. I suggested a hotel, because i don't want his neighbours to gawk at him after i'm through with him. There will be a tub, i hope he tries to drown me and i want to swim in his cum. I want him so bad i'm going crazy. I'm not thinking of romance or a relationship, i just want a man that turns me desperate to touch again. A good man that will make me hunt him for more.

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@confessions
22 Jun 2014 12:23AM
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i confess that i regularity go to my local leisure centre and spy on girls getting changed in the unisex changing facilities. i have watched many friends get naked and all of the lifeguards naked.

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BiCumLuvinSlut
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@confessions
20 Aug 2023 2:31PM
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One night years ago i was looking over craigslist ads and found an interesting one that was only a few blocks from me. He emailed me explicit instructions. Park next to the laundry facility at his apartment complex. Enter, turn out the lights, strip naked and bend over the washer in back. I did as i was told and waited for at least 4 or 5 minutes with my heart pounding wondering what might happen. Then someone entered and locked the door. They came up behind me, grabbed my ass hard and rubbed cold lube into my hole then buried a thick hard cock deep inside me. I screamed and he slapped me said shut up bitch and started fucking me hard and deep. After a few minutes he pulled out, spun me around and shoved his cock balls deep into my throat just in time to swallow his load. Then he left. I felt like a total whore kneeling there naked cum in my mouth and loved every minute of it

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@soapbox
17 May 2012 9:28PM
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A U.S. pastor has been indicted by a federal grand jury on charges of travelling to Haiti to have sex with children.

Larry Michael Bollinger, from Gaston, North Carolina, �did knowingly travel� from the United States to Haiti, and engage in illicit sexual conduct� with two minors, according to a bill of indictment filed in the U.S. District Court for the Western District of North Carolina on Tuesday.

Records show Bollinger was booked into the Mecklenburg County jail late Wednesday evening.

The alleged sexual acts occurred in 2009, between August 1 and November 18, according to the Charlotte Observer.

Behind bars: Gastonia pastor is in jail after being indicted on charges of having sex with two minors in Haiti.

Bollinger, a Lutheran pastor for 33 years, had been working as a coordinator with The Lazarus Project, a mostly Lutheran ministry that runs a vocational school and medical clinic in the Caribbean country.

Current coordinator of the Project, Rev. Ron Qualley, told the Charlotte Observer that Bolliger �was immediately removed from that position� when the sexual accusations first came to light in 2009.

�This is not anything we condone,� he said.

But Rev. Qualley insisted Bollinger �did very good work� during his time with the Project, which has been operating in Haiti for 16 years.

He said that while the accusations had come as a shock, the ministry had not been impacted and continued to do its work.

�The people of Haiti depend on our good work,� he said. �We�re trying to do the best we can.�

Bollinger and his wife had done volunteer work with the House of Mercy, a residential care facility in Belmont for individuals in the advanced stages of AIDS, according to the Charlotte Observer.

He is also believed to have been the pastor at Christ Lutheran Church in Stanley in the past.


So please give more money so we can continue to molest the children on Haiti, we will also be helping people with aids too.

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@confessions
19 Apr 2016 1:54PM
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That awkward, if not surprising moment you learn that your uncle in a nursing home with dementia used to fuck your younger, hot, former prostitute wife.

So, I've posted about my wife on here before. I'm 42 and she's 25. I met her when she was 19 and got her off the street after 3 years of turning tricks. Gave her a place to stay (mother-in-law suite) and even though she is hot as hell, graciously turned down her offer of sex as repayment for the safe place to stay. That's when our relationship turned to courting, dating and very quickly, marriage and kids. But I digress.

I have an uncle that I see rarely and had to drop off some items that my mom wanted him to have. As we pulled in to the assisted living facility, the wife started getting a little tense. Even though we still invite others into our bedroom on occasion, it is done very discreetly due to the life we've built and how hard she's worked to be a different woman. We have a secret signal if we come across a former Trick in social situations. It's happened, but only twice. Anyway, I noticed she was a bit tense, but didn't ask. As we walked through the hallway to my uncle's apartment, her steps got smaller and when we got to the door, she was pale. That's when I realized what exactly was going on.

I established early on that she could always tell me about her past without any fear of judgement or repulse from me. It was important for me to hear, but more important that she knew she could tell me anything. So I already knew that most of her spam were seniors. They would pay more for a younger beautiful woman and they treated her better than younger guys. Most importantly, it kept her from giving $15 blow jobs in alleys or behind stores (though she had a few times). It was a reliable stable of spam who got their Social Security and Disability checks at the beginning of the month. Turns out, she had 3 in this facility and one was my uncle.

He opened the door and we walked inside. The wife was silent and tried not to be noticed, but he eventually recognized her, even though her hair and everything about her has changed. Not to mention, she went from a size 2 to a size 8 after three kids (round in all the right places now). Anyway, with the developing dementia, he didn't comprehend that this was my wife, he just thought I had found his "favorite hooker" for him.

The wife was nervous and was more afraid of what I was thinking than anything. My uncle's hard on was pushing against his pajama bottoms, so we knew what he had in mind. I told her that any decision she made was fine with me, but if she decided to fuck him, he had to wear a condom since he still was fucking hookers. He blew his first load after about 30 seconds, but she stayed in bed with him and got him hard again after about 30 minutes. This time he fucked her for about 40 minutes. She relaxed after her first orgasm and started to enjoy it. Since this was "family" she made love to him instead of fucking him like a hooker would. Once he blew his second load, he got out of bed, looked at me and said, "I'm gonna go take a shower. Go ahead and take a turn. My treat."

Although he was not trying to be insensitive, it was the first time that someone had actually treated her like a "hooker" in front of me. She felt shame and it was obvious. I on the other hand, was rock hard and wanted her to know that I WAS NOT ashamed of her. I made love with her, even though it didn't last long. I was turned on and came after about 5 minutes, but the message was made clear.

We got dressed and my uncle came out and asked how much he owed her for both of us. She smiled and said, "You made love to me so well, I should be paying you! This one's on the house." She gave him a kiss and a hug, and we went back home and I took my time making love to my former hooker wife.

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charlietwobeans
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@confessions
23 Mar 2013 2:49PM
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I confess, at the local sports facility, I can *not* keep my eyes off the young volleyball girls. The shorts they wear are *AMAZING* - tight and shapely and gap-exposing.

Does any other dad practically fall all over the place trying *not* to get caught looking at these glorious behinds?

Thank god I don't have a girl tall enough to play this sport.

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@confessions
21 Jul 2021 8:10PM
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Hope this don’t break any rules and get deleted cause it’s the only place I can think of posting this.

So a DnD game im in got twisted and really dirty in our recent session and for the first time ever, the DM decided to negate and forget that session and events and the next time we met we restarted from where the previous one had ended. I know that’s a big “no no” and like something you’re not supposed to do but it was like a unanimous, unspoken agreement between the DM and all the players that it was what’s best. we had to forget what we did.

So im new to DnD anyway and this was my first game. Out party was made up of a black male human ranger, a female elf bard, a nonbinary dragondorn fighter, and 2 dwarfs(a father and daughter); he was a sorcerer and she was a cleric. An unofficial member of our party was also an NPC who used to be the DMs player character and who they always like to insert for fun. She was a tiefling rogue and sort of an agent of chaos; she always popped in and out of the story and was both a friend who helped us but also would scam or steal from us and leave us with trouble she started. At one point we met up with her again and she managed to haggle for a luxurious enclosed wagon cart for us to have while we were heading to deliver an important artifact. As it was nighttime and pouring out, we enchanted the horses to know where to go so we could all stay inside, chilling and getting wasted.

There was a cloaked hitchhiker on the side of the road and the tiefling convinced us to give them a ride. They turned out to be a pretty female drow druid looking to stay under the radar; we said we’d drop her at a sketchy town we would pass on the way to the city we were going to. We found out much later that the drow was actually a friend of the tiefling and this was planned; they would drug us and swap the artifact with a fake for them to sell. Unfortunately, the tielfling failed a slight of hand check and a dexterity check and this resulted in the vial of drugs being dropped and shattering, exposing everyone to a lot of it. The huge dose meant the constitution saving throw was high and no one made it so we were all affected and basically the whole group devolved into a wild orgy.

Everyone at the table felt weird and we decided to try to possibly roleplay through it and things got intense really fast. At first all the party focused their sudden lust and physical attention on the tiefling and drow; stripping, groping and playing with their bodies. Just one big multicolored mass of writhing naked bodies against each other. The dwarf daughter started fucking herself with the handle of her holy Warhammer, an honored family heirloom. After that it just turned into a perverse free for all; the dragonborn and human were DPing the tiefling, the drow was rimming the elf, who was making out with the dwarf daughter who was currently being fucked by her father. Then it switched to the dragonborn fucking the dwarf daughter, the human fucking the drow and the tielfing and elf spit swapping while the dwarf dad watched and jacked off before fucking the elf. The dragonborn and dwarf daughter also hate each other so they were rage fucking a lot; he kept fucking her in the ass because he knew she hated it. After some more details, like the drow, dwarf and elf all making out together as they watched the three males gangbang the tiefling(as they all had previously had crushes on her), everyone at the table got uncomfortable and we stopped and skipped ahead.

We all had to roleplay the shame and awkwardness of the next morning and time after that, also learning of the two women’s plan; we grudgingly forgive the tiefling but we took the drow prisoner and made her our servant and to do errands and shit for us or we turn her in. We delivered the artifact, did a few more odds and ends then near the end of the session the DM skips ahead a few weeks. We visit a medical facility and learn that; the dragonborn got the tiefling and the dwarf daughter pregnant, the human got the drow pregnant and the dwarf father got the elf pregnant. We also learn that the whole party also now has an STD but we don’t know from who.

We end the session and all agree this was a mistake and went too far; we would never bring it up again act like it didn’t happen and we started from the end of the previous session the next time we met. We played things differently that time around; we avoided meeting up with the tiefling and so we have a longer, shittier ride to our destination. We cross paths with the drow again but ignore her but because she thinks the tiefling has betrayed her she attacks us. We beat her and again made her our bitch and continued on normally. it made for an awkward reuninon when we ran into the tiefling again. Oh, we also found out after the original session that it was the elf that gave us all crabs, since bards fuck everyone and everything.

Because I was the dragonborn character and he still hates the dwarf, and me and her player actually don’t like each other in real life, I still took advantage of a scenario where she got drunk; he convinced her to do a striptease on the bar and fucked her afterwards. He also got her hypnotized so that every night she would put her holy medallion up her ass like a buttplug, wear the symbol of the god that’s the enemy of hers and walk the streets in a tooth floss bikini. It pissed her off sooooo much lol

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hahappy
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04 Nov 2013 1:18PM
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After watching porn for years, I started to act out my sexual urges in public. I festered not to flash my cock in front of girls. I would grab my penis through my pants while waiting at stop lights in my car. I would get it hard, and fantasize about flashing myself to them. I wanted to find a way to flash my cock without getting in trouble for it, so I did.

I made a doctor’s appointment soon after my sexual urges started. I went there for a routine checkup, but with a new female doctor in the facility. I walked into the waiting area, and waited for my doctor to enter. She entered my room, and damn was she sexy. She went through the whole procedure of checking my vital signs, and then she put her hand on my back and asked me to cough, so I did.

After she touched my back, my dick started to get hard. That’s when I remembered that as a kid, doctors would check for hernias by grouping your balls, and asking you to cough. So when she asked if anything was bothering me, I told her that my lower area hurt every time I would lift something heavy. At this point my dick was bulging through my pants. She said that she would check that for me, and then asked me to drop my pants, as she grabbed a pair of latex gloves.

I waited a little bit as she put her gloves on. I wanted her to stare right at my dick as I unbuttoned my pants. I dropped my pants, but I still had my boxer briefs on. She was looking at the bulge inside my briefs, and slowly started to turn her head away. I dropped my briefs, and my seven inch dick popped right out, and it nearly swung at her face.

She then placed her cold hands under my balls, and groped the shaft of my penis. Then she asked me to cough. My dick would sway up and down as I coughed. She had me cough three times, and then asked me to pull my pants up. She then said, “Well, I don’t see anything wrong, but it the pain starts to get worse I’ll recommend you to a specialist.”

I left my doctor’s office with relief. Once I got home I masturbated to the fantasy of her grabbing my balls. I wish I could do it all over again, and record the situation, but that was when I was 19. I definitely don’t have the balls to try that again.

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@random
15 Aug 2013 4:51PM
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Former 'That ‘70s Show' star Lisa Robin Kelly dead at 43

Former That ‘70s Show star Lisa Robin Kelly has died, according to her agent.

As reported by TMZ, Kelly, 43, passed away in her sleep on Wednesday night at a rehab facility in California.

“Lisa had voluntarily checked herself into a treatment facility early this week where she was battling the addiction problems that have plagued her these past few years,” said her agent Craig Wyckoff.

Born in Southington, Conn., the blonde actress had lead a troubled existence once That ‘70s Show went off the air in 2006.

In August 2010, Kelly was arrested in North Carolina for driving under the influence, for which she plead guilty and was sentenced to 12 months of unsupervised probation.

In March 2012, Kelly was arrested in Los Angeles on a felony charge of corporal injury upon a spouse following claims that she beat up an ex-boyfriend. The L.A. district attorney later declined to prosecute.

In November, 2012, Kelly and her 61-year-old husband Robert Gilliam were both arrested and charged with assault following a disturbance at their home in Mooresville, North Carolina. Both were released on bond.

And two months ago, Kelly was arrested again when California Highway Patrol responded to a call regarding a parked car blocking a freeway lane. Kelly failed the field sobriety test and was charged with DUI.

On That ‘70s Show, Kelly played Laurie, the promiscuous older sister of main character Eric Forman (Topher Grace). She left the show after five seasons with the explanation that her character was attending beauty school. The Laurie character was replaced by actress Christina Moore for the show’s sixth season.

In an interview with ABC News, Kelly said she left the series to deal with her personal issues. “With That ‘70s Show, I was guilty of a drinking problem, and I ran,” she said.

Sources told TMZ that Kelly had been in and out of rehab centers in recent years in an attempt to kick her alcohol problem.

Kelly recently fell off the wagon following a dispute with her estranged husband, Gilliam, who was arrested for assaulting her in May, 2013. Gilliam was convicted of domestic battery last month and sentenced to three years probation.

According to her agent, Kelly was attempting to restart her career when she passed away.

“I spoke to her on Monday and she was hopeful and confident and looking forward to putting this part of her life behind her,” said Wyckoff. “[On Wednesday] night she lost the battle.”

The official cause of Kelly’s death has not been announced.

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